IV - AU COMMENCEMENT LE VERBE
Malheureusement,
le langage fournit seulement une interprétation logique des faits de
conscience. Les pulsions, l’apprentissage culturel, demeurent dans
le domaine de l’inconscient. Ce sont eux qui guident le discours,
et celui-ci couvre d’alibis logiques l’infinie complexité des
fonctions primitives et des acquis automatisés. Imaginaire,
fonction spécifiquement humaine qui permet à l’Homme
contrairement aux autres espèces animales, d’ajouter de
l’information, de transformer le monde qui l’entoure. Imaginaire,
seul mécanisme de fuite, d’évitement de l’aliénation
environnementale, sociologique en particulier, utilisé aussi bien
par le drogué, le psychotique, que par le créateur artistique ou
scientifique.... Certes,
les animaux savent communiquer entre eux, ils possèdent un certain
langage. Mais celui qui est propre à l'homme, le langage parlé,
puis écrit, régi par une grammaire et une syntaxe, n'a sans doute
vu son épanouissement que depuis quinze à vingt mille ans, lorsque
sa créativité lui a permis d'inventer des outils variés, de
développer par rapport à son environnement des fonctions également
variées. Un besoin s'est alors fait sentir de communiquer entre ces
différentes fonctions humaines, comme précédemment la
spécialisation cellulaire avait exigé, pour qu'un organisme
travaille comme un tout cohérent, l'apparition d'une information
circulante. Henri
LABORIT
L'explication
des lettres hébraïques est le mystère des mystères, et celui qui
le connaîtra d'une connaissance juste et parfaite connaîtra tout ce
qui existe, du début à la fin.
Dans
la Bible, le verbe n'a pas le sens que nous lui donnons. Pour les
chrétiens,
la
parole
de Dieu n’est pas audible en mots, le Verbe est une vibration qui
exprime sa volonté.
Dans le kibalion, rien
ne repose, tout remue, tout vibre, le principe de vibration implique
la vérité que le mouvement se manifeste partout dans l’univers,
que rien n’est à l’état de repos, que tout se remue, vibre et
tourne en rond. Le
Verbe a donc
été
l’élément qui a permis aux univers d’exister,
d’être créés puis
de s'étendre.
Avant la pensée et
la volonté
de Dieu qui
a engendré le
Verbe, il n’y avait que le chaos.
La
communication avec les dieux était une question centrale pour les
anciens Mésopotamiens, elle devait leur permettre de savoir comment
satisfaire leurs créateurs et maîtres. Les humains prenaient
connaissance des volontés divines par la divination.
Les
dieux envoyaient des messages qu'il fallait déchiffrer, grâce à
l'aide des spécialistes, les devins. Ils pouvaient se trouver dans
différents aspects de la vie quotidienne, plus ou moins
exceptionnels en apparence, ce qui a donné lieu au développement de
nombreuses branches de la divination : la tératomancie, lors de
la naissance d'un nourrisson à la morphologie particulière ;
l'astrologie, par l'observation un phénomène astral inhabituel ;
l'oniromancie, par utilisation des rêves prémonitoires, ou les
interprétations faites si l'on croisait un animal d'une telle
couleur dans la rue, etc. Souvent, c'étaient les humains qui
suscitaient le message divin, principalement par les procédures
d'hépatoscopie ( forme
de divination qui recourt à l'examen du foie d'un animal )
et d'extispicine (
analyse
du cœur et/ou des poumons, du foie et de la rate d'animaux consacrés
)
on posait une question, puis la divinité devait donner une réponse
dans les entrailles ou le foie d'un animal sacrifié, un agneau
en
général.
Pour
DESCARTES,
le
foie a un rôle dans la création des esprits animaux autant que le
cerveau, le
cœur n'est plus le
siège des passions, même
s'il garde
implicitement un rôle fondamental et contribue à rendre les
passions manifestes.
MOZART
écrivait à sa sœur « mon foie ». Autres
temps autres mœurs.
C'est
ce type de divination qui était le plus courant durant
le IIe millénaire av. JC,
aux côtés de l'astrologie qui connut un grand développement et
devint dominante au Ier millénaire av. JC.
Elle était d'abord réservée à l'observation des phénomènes
célestes vus comme des messages divins suivant la conception
classique de la divination. Puis aux périodes tardives les progrès
de l'astronomie et de la prédiction des mouvements célestes
rendirent ces conceptions dépassées et on se tourna vers la
rédaction d'horoscopes permettant de prédire l'avenir d'un individu
en fonction de sa date de naissance (notamment son signe
du zodiaque),
genre qui connut un succès considérable dans le monde ancien.
Il
n’y a pas de langue originelle commune à l’humanité écrit Claude
HAGEGE [ linguiste
français d'origine tunisienne né en 1936 ], mais il y a des
symboles et des concepts communs.
Comment
homo sapiens, alors que le langage était sommaire, a-t-il pu
transmettre toutes ces connaissances de génération en génération
et durant des millénaires ?
Au
commencement
était donc le son, explicitement ou implicitement cette affirmation
se retrouve un peu partout dans le monde antique, chez les
Mésopotamiens, mais aussi chez les Égyptiens, les Hébreux,
les Grecs, ou encore dans l’Apocalypse de Jean. Loin d’être
gratuite, cette assertion correspond à une réalité objective,
ainsi que le constate Hilaire HEIM (membre
de Kadath, chroniques des civilisations disparues), au
terme d’une étude approfondie des textes, mythes, légendes et
traditions des grandes civilisations préhistoriques et antiques,
lesquelles peuvent dès lors être qualifiées de « civilisations
du son ».
Pyramides
de Khéops, construites avec une précision diabolique, sans
ordinateur, y aurait-il un langage que nous avons perdu ?
Stonehenge,
illusion sonore pour Steven
WALLER
acousticien américain (février 2012), mais peut être que ses yeux
se ferment lorsqu'il ouvre les esgourdes.
Aéria,
les chercheurs sont sur le bateau et ils ne le voient pas. Là grande
erreur était de chercher des vestiges d'une cité, à
Saint-Geniez-de-Dromon
ou à la Roche-St-Secret-Béconne,
alors
qu'il n'y avait aucune construction, tout était naturel, qu'il n'y
avait pas encore de ville, que de petites cités à la fonction bien
définie pour les chercheurs de l'époque, premiers scientifiques, où
étaient mises en application leurs recherches (agriculture,
élevage), lesquelles servaient également à les approvisionner.
Aéria
était donc très vaste, une grande partie de la Haute-Provence, même
si l'endroit le plus emblématique était l'observatoire, à
Séderon, où tout encore une fois était naturel, on y élevait que
des moutons et des chèvres pour éviter la pousse d'arbres qui
pouvaient gêner l'observation.
Chapelle Marie-Madeleine Villefranche-le-Château Chapelle Izon-la-Bruisse |
Foire
au tilleul et de l'agneau des Baronnies, « elle avait fait
disparaître toutes les mouches » me disait une dame âgée
tandis que j'évoquais la chapelle Marie-Madeleine.
Izon
la Bruisse 11 habitants, autre vallée "oubliée". Si vous
cherchez dans une encyclopédie en dix volumes des années soixante vous ne trouvez qu'Izon en Gironde, entre deux mers. Bruisse →
bruissement, bourdonnement des abeilles. Chant d'Ison → notation
de la musique byzantine. La psaltique découle du système
d'accentuation grecque (oxeia, apostrophos...) qui a évolué au fil
des siècles en neumes (signes descriptifs) langue des oiseaux.
Du
blanc sec, non, du mousseux s'écria dignement Filoche. Du
blanc sec, Entre-deux-mers, non, de la clairette de Die, Digne ment,
Crest ment, et du champagne à Epernay, les bulles qui ne sont pas du
pape, le gai chemin de compère GUILLERI,
qu'on le prenne à l'endroit ou à l'envers, Crest-Die-Dieulefit.
L'écriture
permet de transmettre les connaissances, elle éveille l'imagination
du lecteur, provoque des émotions, mais ce sont les siennes, pour
faire passer celles de l'auteur il faut la musique, et parfois les images. La langue est un raisonnement, « résonnement »,
on ne peut pas l'acquérir par la traduction mot à mot, sans doute
les limites de la philologie puisque la transposition se fait dans
notre raisonnement et avec nos yeux du XXIe siècle.
Dans
les années soixante les chansons étrangères étaient traduites en
français, des mots bien insipides, mais aujourd'hui les jeunes
les écoutent dans la langue d'origine, la musique n'a pas de
frontières.
Probablement
ce qui s'est produit il y a trente mille an, à l'époque d'Aéria,
mais aujourd'hui encore, en Turquie méridionale, peuple de
nomades qui racontent des histoires uniquement par la musique, à
l'aide un instrument « primitif » à deux cordes,
didgeridoo pour les aborigènes, qui remonterait à l'âge de pierre,
mais sans chercher aussi loin, le tam tam et le bol tibétain,
bol chantant, « bains sonores qui touchent l'âme ».
Merritt
RUHLEN,
linguiste américain né en 1944, a avancé la thèse d'une
proto-langue mère originelle et commune à toutes les superfamilles,
qui aurait vécu vers 50 000 ans avant notre ère. Selon lui, le
premier mot prononcé par l'homme serait la monosyllabe tik («doigt»)
ou aq'wa(«eau»),
appartenant à 32 familles de langues et proto-langues reconnues par
la majorité des linguistes.
Dans
la plupart des civilisations antiques un seul nom servait à désigner
l’individu, attaché à la personne de sa naissance à sa mort,
sans être héréditaire. Les romains utilisaient trois noms, le
prénom, le gentilice (nom du groupe de familles), et le cognonem,
surnom devenu nom de famille. On retrouve « gentil » chez les
juifs, Goy, « bien brave » en Provence. Au
Ve siècle les invasions Barbares font disparaître le système de la
Gaule, ce n’est qu’au Xe que le processus de création des noms
reprend, mais les néerlandais n’ont de noms que depuis Napoléon
1er ,
le nom le plus répandu est JANSSEN,
fils de Jean,
beaucoup plus pragmatiques (mot cher à notre président jupitérien),
moins imprégnés que nous et en tous cas plus tardivement de culture
judéo-chrétienne. Les guadeloupéens n'ont des noms que depuis
l’abolition de l’esclavage, « donnez-leur n'importe quel nom »
avait-il été décidé dans l'urgence, des noms bien souvent
ridicules, comment dès lors recouvrer ses racines autres que
raciales. Mais comme dans quelques générations il ne devrait
plus y avoir que des Martin il suffira de prendre le numéro de
Sécurité sociale, pas sûr que les moteurs de recherches s'y
retrouvent, à
moins qu'on se contente de la reconnaissance faciale.
Ce
sont les noms, et prénoms, qui ont fait de nous des être uniques
quand dans l'antiquité la conscience devait être collective, comme les
abeilles. Notre parcours est donc aussi « écrit » en
partie dans les noms, eux-aussi nous « formatent », comme
les signes qui nous font « vibrer » sans que nous n'en
ayons conscience (sémiotique, sémiologie), qui nous font prendre un
chemin plutôt qu'un autre. Obliger
la femme a porter le nom de son
époux
est une véritable excision
morale.
Lorsque
nos parents nous donnent un prénom il ont en général au
moins vingt ans de culture derrière eux. Bernard,
mais lequel, Bernard
de Clairvaux
ou Bernard
PALISSY ?
Mickaël
GELABALE,
joueur de basket-ball français, aptonyme, nom de famille ou prénom
possédant un sens lié à la personne qui le porte, le plus souvent
en relation avec le métier ou les occupations, aptonym attesté
depuis 1992 en anglais, popularisé par André
BOUGAÏEFF professeur
à l'université du Québec à Trois Rivières.
Un
jour, fiction, un ingénieur s'appelle Pierre
VERNE.
« Tu ne serais pas un descendant de Jules
VERNE,
par hasard » lui glisse un ami. « Arrête tes bêtises »,
mais le week-end cela le travaille, il entreprend son arbre
généalogique, quand dans un tiroir il découvre que sa grand-mère
couchait avec le facteur. « La salope », elle bien sûr,
de
femmes et de chevaux il n'y en a point sans défaut proverbe
provençal, bien
vite il referme le tiroir.
Mais
si ce n'est pas dans les gènes... c'est divin ! Piégé, il
s'invente un d' « Estaing », comme bien d'autres
dont par charité je tairai le nom. À contrario, bercé dans son
enfance par les récits de conquêtes de son grand-père général un
homme s'engage dans l'Armée, quand il apprend qu'il est un enfant
adopté. Il a raté sa vie, jamais il ne sera général.
"Le
prénom est bien plus qu’une étiquette d’identification.
Posséder et user de son prénom Hébraïque, c’est être fier de
son héritage juif. En Égypte, les enfants d’Israël gardèrent
leurs patronymes et cela assura la cohésion du peuple, qui mérita
la délivrance. De plus, le prénom est le canal par lequel la vie
parvient du Très Haut, car lorsqu’un enfant est nommé, c’est
une petite prophétie de la part des parents. En effet, le destin de
cet enfant est lié à la combinaison de lettres hébraïques qui
forme son prénom."
Cité
des Dieux, cité mythique qu'il fallait absolument faire oublier,
toujours aller de l'avant, ne jamais se retourner sous peine d'être
changé en statue de sel.
Faut-il
encore croire au hasard quand Séderon est devenu chef-lieu de canton
de la Drôme, quand il a été écarté de la réserve géologique
des Alpes de Haute-Provence, quand dans les années quatre-vingt il
n'était même pas repris sur les cartes du syndicat d'initiative de
Buis-les-Baronnies, et qu'aujourd'hui encore il est l'une des rares
communes à ne pas adhérer au Parc naturel régional
des Baronnies provençales, Journal Officiel du 25 janvier
2005.
Séderon
est l'un des ciels le plus purs de France, là effectivement que
depuis des lustres quantité d'amateurs se retrouvent en
août pour
observer le ciel et
la pluie d'étoiles filantes, au
col de l'Homme Mort.
Observatoire
installé près de la commune de Saint-Michel en 1937, Séderon
avait été envisagé mais la commune est trop enclavée, les
scientifiques ont besoin de confort. Un observatoire privé a quand
même été installé au sommet de Bergiès,
site d'envol pour delta-planes, mais proximité du plateau d'Albion,
gendarmeries dans chaque village, ils n'ont été autorisés qu'après
l'arrivée de la Gauche au pouvoir, Georges
FILLIOUD (1929-2011) ministre
de la Communication dans les deux
premiers gouvernements MAUROY, puis
secrétaire d'État auprès du Premier Ministre chargé des
techniques de communication.
Après
des recherches en Corse, dans le massif des Vosges, le Massif Central
et la Drôme le plateau d'Albion est retenu en avril 1965 pour
l'implantation des missiles, en raison de sa faible densité
humaine et de son sol calcaire, permettant une construction peu
coûteuse (?) des silos qui renfermeront les missiles, mais aussi capable
d'amortir efficacement l'onde de choc d'une attaque nucléaire.
Des travaux titanesques sont
engagés de novembre 1966 à mars 1970, les
installations opérationnelles représentent 260 000 m3 de
dérochage, 540 000 m3 de terrassements et
150 000 m3 de béton. Simultanément la Durance
est déviée, le plateau n'a pas d'eau, elle s’infiltre
profondément, probablement l’origine de Fontaine de
Vaucluse, l'ensemble du réseau routier environnant est
modernisé et élargi pour permettre le passage des convois
militaires. Pourquoi la
route s'arrête-t-elle brutalement au col de l'Homme Mort ? Si
quelques militaires savaient, inclure la vallée et Grosse Pierre
aurait peut-être éveillé la curiosité.
Grande rue Séderon |
En
1956, un ingénieur de Lyon, Jean FLANDRIN, avait
entrepris l’étude géologique de Séderon, en
collaboration avec 11 élèves de l’Ecole Nationale du Pétrole, 2
ingénieurs de la Compagnie Africaine du pétrole devenue ELF
Aquitaine puis TOTAL, en 1966 plus de cent ingénieurs
entreprennent des forages mais on ignore ce qu'ils ont
trouvé.
Séderon, limite de quatre départements, quartier les quatre mais le nom est antérieur à la départementalisation, on n'y passe pas, on y vient, et pas plus que les gendarmes les scientifiques ne franchissent pas la frontière s'ils n'y sont pas invités. En 2005 des fouilles ont été engagées dans la vallée de la Méouge mais pas à Séderon. Comme l'exige la Loi j'ai informé l'INRAP, pas de budget !
Séderon, limite de quatre départements, quartier les quatre mais le nom est antérieur à la départementalisation, on n'y passe pas, on y vient, et pas plus que les gendarmes les scientifiques ne franchissent pas la frontière s'ils n'y sont pas invités. En 2005 des fouilles ont été engagées dans la vallée de la Méouge mais pas à Séderon. Comme l'exige la Loi j'ai informé l'INRAP, pas de budget !
Marcel
PAGNOL,
écrivain, dramaturge, cinéaste et producteur français
(1895-1974) aurait pu écrire bien d'autres romans, René
BARJAVEL (1911-1985)
aussi, natif de Nyons, "le Grand Secret".
Château
d'Aulan non loin de Séderon. Charles
SUAREZ était
le seul comte à faire le foin avec ses gens, il l'entreposait dans
la seule pièce du château qui ne prenait pas l'eau, le curé
vendait des crêpes et tenait buvette, ce qui avait le don d’agacer
le patron de l'estaminet qui payait patente. DON
CAMILLO n'était
donc pas né en 1948 de l'imagination de l'humoriste et
écrivain Giovannino
GUARESCHI,
à la base de toute légende il y a toujours une part de réel.
Peu
avant son accident de voiture Albert
CAMUS songeait
à y faire retraite, d'où le rapprochement que par la suite je ferai
avec Aurel en Vaucluse, « les deux alpha », là où un
aristocrate anglais s'était installé, la rumeur prétend qu'il
était à la recherche du trésor des templiers.
Nombreuses
grottes dans la commune où les archéologues ont retrouvé un
outillage lithique important, prouvant que le territoire était
occupé dès le Néolithique. Rapprochement aussi avec les Omergues,
enclave entre Séderon et Montfroc, « alpha &
oméga », que SAUNIÈRE avait
inversés sur le pilier qui soutenait un ancien autel.
Dominant
le village de Barret de Lioure trois croix, dont la centrale seule
porte un christ. Elles ont été installées vers 1835 par le
maire Martin
CONIL (ancêtre
de tous les CONIL de Barret, Séderon ...) en remerciement
de ce que Barret de Lioure avait été épargné par la grande
épidémie de choléra qui a sévit à partir de 1832 en Provence,
épidémie qui a quasi anéanti le village des Omergues et
que GIONO a décrite dans le « Hussard sur le toit. »
A l’extrémité Est du cimetière de Barret, une croix monumentale
suscite de nombreuses questions. Fixée sur un fût de colonne
cannelé en pierre, de plan carré (65 cm x 65 cm), de 135 cm de
haut, cette croix, en fer forgé est remarquable par les nombreux
emblèmes qui la garnissent et qui font parfois penser à des signes
maçon-niques ! Correction : Rien de
maçonnique. Extrait du Luminaire.
Si
les romains s'étaient employés à égarer, bien d'autres après eux
qui n'avaient rien à leur envier.
Montbrun-les-Bains |
La
loi de juillet 1790 fit de Séderon une
commune de la Drôme (675 habitants à l'époque) qui
remplaça Montbrun-les-Bains comme chef-lieu de
canton (1060 habitants) lors de la réorganisation
administrative de l'an VIII. De quoi raviver les guerres de
religions dans les Baronnies, pays des GRIMALDI.
Si Michel
BENOÎT écrit, quiconque
a le secret doit être consumé par lui et disparaître, tandis que
pour Roger GUASCO le
secret est tel que nul n'a le droit de le divulguer, je ne partage
absolument pas.
Si cette « découverte » mettait en péril l'humanité, comme DARDANUS je me retirerais en ermite. Berceau de civilisation (pas de l'humanité, Afrique du sud), de toutes les civilisations, c'est au contraire un moyen d'unir les religions puisque toutes ont la même origine, la même source, toutes sont parties d'un même point, tous nous sommes issus de cette petite communauté, blancs, jaunes, noirs ou rouges tous nous sommes des ariens, pas blonds aux yeux bleus.
Si cette « découverte » mettait en péril l'humanité, comme DARDANUS je me retirerais en ermite. Berceau de civilisation (pas de l'humanité, Afrique du sud), de toutes les civilisations, c'est au contraire un moyen d'unir les religions puisque toutes ont la même origine, la même source, toutes sont parties d'un même point, tous nous sommes issus de cette petite communauté, blancs, jaunes, noirs ou rouges tous nous sommes des ariens, pas blonds aux yeux bleus.
Elle devrait bien quand même finir par s'ouvrir nom de Zeus, c'est fichue porte, que Diogène de Sinope (Diogène le Cynique), puisse se retirer dans son tonneau, et ne se promène plus la nuit, nu dans la ville, une lanterne à la main, en criant « je cherche un homme ! »