IX - CULTE DE MAMMON

MOÏSE serait né en 1393 avant JC, mort en 1273, à 120 ans par conséquent (le nombre 120 symbole de perfection), sa vie se découpe en trois parties de quarante ans.
Selon la légende, Pharaon ayant décidé le meurtre des enfants hébreux mâles, sa fille découvre sur la rive du fleuve un panier d'osier dans lequel flotte un nourrisson qu'elle nomme « Moïse », « sauvé des eaux ». La princesse décide d'adopter cet enfant hébreux. Une fois adulte, lorsqu'il constate la misère de son peuple d’origine il tue un contremaître égyptien qui battait un hébreu puis s'enfuit, « faisant paître ses moutons loin dans le désert »
C'est vers l'âge de 80 ans que Dieu se révèle à lui et lui dévoile sa mission : « L’ange de l’Éternel lui apparut au milieu d'un buisson alors qu’il faisait paître les moutons de son beau-père. Il conduit alors les  Enfants d'Israël hors d’Égypte, jusqu'à la Terrre promise, le pays de Canaan », 1300 environ avant JC.
La Torah (ou Thora) est l'enseignement divin transmis par Dieu à Moïse sur le mont Sinaï, qui après avoir reçu les tables de la Loi, et en avoir réalisé plusieurs copies pour les dignitaires, transmet à Josué, qui à son tour transmet à ses successeurs spirituels.
Dans le Nouveau testament de la Bible (entre le milieu du I er et le début du II e siècle après JC), MAMMON, est la richesse matérielle qui est personnifiée en divinité à laquelle les hommes sont susceptibles de vouer leur vie. Son adoration correspond dans l'ancien Testament (le livre le plus récent date approximativement de 400 avant J.C) ou dans la Thora, on parle du culte du Veau d'or, dans la morale catholique il est lié à l'avarice, l'un un des sept péchés capitaux. Aucun homme ne peut servir deux maîtres : car toujours il haïra l'un et aimera l'autre. On ne peut servir à la fois Dieu et Mammon Matthieu 6-24
Sainte Françoise Romaine (1384-1440) présente Mammon comme étant un des trois princes de l'Enfer, soumis à uniquement à Lucifer. Dans son ouvrage « L'Unique et sa propriété », le philosophe allemand Max STIRNER (1806-1856), considéré comme égoïste et antilibéral, et comme un des précurseurs de l'existentialisme et de l'anarchisme individualiste, associe Mammon à une divinité illusoire à laquelle sacrifieraient les impies, par opposition avec le Dieu des croyants pieux. Karl MARX (1818-1883) évoque aussi le culte de Mammon.
Ultérieurement, Jacques ELLUL (1912-1994), écrira dans « La subversion du christianisme » que Mammon est une partie de Satan. Professeur d'histoire et de droit il est qualifié « d'anarchiste chrétien ». Converti au protestantisme à l'âge de 18 ans, il rejette tout recours à la violence et se tient à l'écart du marxisme dans lequel il ne voit qu'une idéologie comme une autre, « une pensée fossilisée ». En 1992, deux ans avant sa mort, bien qu'il n'ait jamais cessé de témoigner de sa foi dans les Évangiles il déclare que « le christianisme est la pire trahison du Christ », que sous CONSTANTIN il a été « subverti » par sa collusion avec l'État.  
La théorie du complot (complotisme ou conspirationisme) est une expression d'origine anglaise, définie pour la première fois en 1945 par Karl Raimund POPPER (1902-1994) enseignant et philosophe des sciences du XXᵉ siècle, qui dénonce comme abusive une hypothèse selon laquelle un événement politique a été causé par l'action concertée et secrète d'un groupe de personnes qui croyaient avoir intérêt à ce qu'il se produise, plutôt que par le déterminisme historique ou le hasard. Pour Peter KNIGHT, Université de Manchester, « un petit groupe de gens puissants se coordonne en secret pour planifier et entreprendre une action illégale et néfaste affectant le cours des événements, l'objectif étant de détenir ou de conserver une forme de pouvoir (politique, économique ou religieux) »

En 1979 paraît « Le grand secret » de René BARJAVEL (1911-1985), roman uchronique (qui utilise des événements et des personnages historiques réels en les intégrant à l'intrigue du roman). Jeanne aime Roland, mais un jour celui-ci disparaît mystérieusement sans laisser de traces. Jeanne, décidée à le retrouver mène son enquête qui va vite la mener à soupçonner l'existence d'un secret très bien gardé et connu de très peu d'hommes sur Terre. Dans le Livre II, un savant a découvert par hasard un virus qui permet à quiconque d'être condamné à vivre pour l'éternité. Ce virus est contagieux. Ayant pris conscience des conséquences dramatiques pour l'humanité si le virus se répandait, une île a été créée (supposée être l'une de l'archipel des îles Aléoutiennes) avec l'aide des plus grands gouvernements planétaires, afin d'accueillir les contaminés. 
En réalité, ni Bilderberg, Illuminati, complot reptilien et autres fantasmes, c'est un "système pyramidal", d'une simplicité confondante, génial !
Même si le juridique et la comptabilité vous rebutent ne négligez pas cet article, cela n'arrive pas qu'aux autres. Ce récit n'est pas une fiction, les faits sont avérés, plusieurs pièces attestant de mes dires ont été déposées au greffe de plusieurs tribunaux.
Pas grand chose à voir avec la "chaîne de Ponzi", première arnaque célèbre utilisant le système de la pyramide pour flouer les investisseurs, mise en place par Charles PONZI (1882-1949) à Boston en 1920, qui proposait à ses investisseurs des rendements mirobolants de 50% en 45 jours, reprise par Bernard MADOFF.
Pour faire simple, disons Claude, propriétaire gérant d'une société en conflit avec une entreprise, il a subi un préjudice d'exploitation, le tribunal nomme un expert qui l'estime à deux millions d'euros.
La compagnie d'assurances conteste, le tribunal nomme un autre expert, Paul,  qui va mettre quatre ans à rendre son pré-rapport quand l'autre avait mis moins d'un an.  Claude ne cesse de le relancer, le récuser c'est prendre le risque d'accroître encore les délais. "Payer et mourir on a toujours le temps" se plaisait à répéter un avoué de Nîmes. C'est là qu'interviennent souvent les frères trois points, pas des lumières. Qui sait si dans quatre ans l'entrepreneur n'aura pas mis la clef sous la porte, plus de chance pour l'expert de retrouver l'assureur sur un autre dossier que Claude au bout du rouleau. 
Si les juges font appel à un expert c'est qu'ils ne peuvent pas tout connaître. Comme ils ne peuvent pas tout connaître ils ne lisent que la dernière page, les conclusions. Pour contrer un expert il faut donc un autre expert, et ils se mangent rarement entre eux. C'est là qu'interviennent les experts souvent « trois points », pardonnez-leur ils ne savent pas ce qu'il font, là que la franc-maçonnerie est utile, c'est au départ que tout se joue, qu'ils polluent le dossier, que le plaideur va en prendre pour des années d'errance, parfois y laisser sa chemise.
Excepté pour les professions réglementées, n'importe qui peut se dire expert, en tout et n'importe quoi. Dans son ouvrage « Bête noire », Éric DUPONT-MORETTI évoque une experte psychologue près la cour d'appel de Bordeaux, qui de 2005 à 2008 avait réalisé plus de 400 expertises alors qu'elle ne possédait aucun diplôme.
Dans un rapport indigeste de plus de cent pages, Paul a commis une "petite erreur" d'imputations de charges, il a ajouté les frais financiers aux loyers alors que les premiers servent à payer ces derniers, préjudice néant.
Des jours et des nuits durant lesquels Claude cherche ce qui a pu se passer, même son expert-comptable y perd son latin. Ayant fini par trouver l'erreur il se met en quête d'un autre expert, pas simple à trouver, ils se mangent rarement entre eux, qui en moins de trois pages va mettre l'erreur en évidence quand il lui en avait fallu plus de vingt.
Recours par devant le conseiller de la mise en état, quelques soient les qualités de cet expert il n'a pas été nommé par le tribunal, et je ne suis pas comptable déclare l'avocat. Tenu par la loi le conseiller ne fait pas ce qu'il veut, il saisit la perche, dans ces conditions maître, vous ne voyez pas d'objection à ce que l'expert revoit sa copie. Il va mettre de nouveau quatre ans. 
Claude est enfin indemnisé, mais pas du préjudice qui s'est poursuivi durant huit ans faute d'indemnisation suffisante, dans l'obligation de remettre des fonds dans sa société, de courir sans cesse après le train.
Page X de son rapport, Paul a porté deux traits et une croix devant "l'erreur". Il a fragilisé l'entreprise mais il ne peut pas en tirer profit, il doit se retirer, pas de délit sans mobile.... crédible, l'erreur est humaine. Si un juge initié voit ces signes il comprend, mais pour un autre, encore le délire maçonnique !
Arrive Charles qui tombe sur les signes, même pas besoin de connaître son cher confrère, il sait que l'un des siens est passé, et comme à partir d'un bilan ces gens là déshabillent une société en quelques heures, il sait qu'il ne s'agit pas d'une erreur, même un petit banquier ne l'aurait pas commise.
Charles s'introduit chez Claude, quel brave homme pense-t-il, enfin quelqu'un qui le comprend, il lui dit tout, ne lui cache rien, pas même ce qui pourrait lui porter préjudice, Charles va en profiter pour lui faire créer de nouvelles sociétés et poser quelques pièges statutaires, nouvelle société détritivore destinée dans le temps à vider les autres de toute substance.
Aléas de la vie, Charles casse sa pipe, arrive Alfred qui a repris les dossiers, il s'assure que la place est libre, jamais de vide, lui aussi s'introduit chez Claude. Au centre de la pyramide où tout est momifié, ce dernier bien incapable de comprendre ce qu'il lui arrive, « mais qu'ai-je fait au bon Dieu pour en arriver là ? » Alfred fait racheter sa société à la chandelle par un sous-fifre, liquidée à vil prix.
Quel intérêt pour Paul et Charles ? Des jalons, ils en posent, et en relèvent, toute la vie, ils finiront bien par tomber sur une pyramide où le chemin qui reste à parcourir est bien plus court avant qu'elle ne s'inverse et que les pièces d'or tombent dans l'escarcelle, jackpot ! Le système s'étend parfois sur plusieurs générations, la première fait fortune, la seconde la conserve, la troisième la perd, n'est-ce pas dans l'ordre des choses ? C'est à eux qu'il faudrait aussi demander une déclaration de patrimoine. 
Mais le conseiller de la mise en état avait compris que Paul n'avait peut-être pas les fesses propres. Dans les conclusions de l'entrepreneur l'avocat va donc lui aussi porter des signes, si l'un des juges est initié il va comprendre qu'il ne faut pas inquiéter Paul, que s'il tombe il pourrait en faire tomber d'autres, c'est le système qu'il faut protéger.
Claude découvre ces signes, s'agite comme un cabri, «  bon sang mais c'est bien sûr, des frangins, des frangins !». Piège infernal dans lequel  beaucoup trop tombent, c'est le procès de la franc-maçonnerie qu'ils voudraient instruire, la franc-maçonnerie n'a pas le monopole des symboles, elle n'est que la partie émergée de l'iceberg, la justice aussi est symboles. 
Financement occulte des syndicats par le patronat, scandaleux, mais qui savait depuis des lustres ? Longtemps que les commissaires aux comptes  savaient pour Jérôme CAHUZAC, mais lorsqu'il a voulu s'en prendre au système qui l'avait enrichi, grâce à l'un de ses anciens emplois au sein du ministère de la Justice où il travaillait comme lobbyiste, désormais ministre du budget, droit dans ses bottes, il était temps de le faire tomber. 
Juge du Pôle Economique et Financier qui en mai 2007 (autre affaire) tentait en vain de pénétrer les locaux du Canard Enchaîné, il n'aurait trouvé que des pièces comptables, anonymes.
Qui a la possibilité de pénétrer une secte, une loge ? Les commissaires aux comptes ! En principe, la Loi leur fait obligation de signaler tout délit au procureur, mais si un adepte, pensant protéger sa secte allait tuer l'amant de la femme de commissaire en échange de son silence ; "je ne sais pas ce qui m'a pris, je ne connaissais pas cet homme, sans doute les médicaments..." deux ans de psychiatrie au lieu de perpète, crime parfait.
Ces individus sont partout infiltrés, dans les organismes publics et institutions constituées dont ils se veulent les défendeurs, ils les servent si bien, là aussi qu'ils se rencontrent et se refilent leurs petites affaires.
Nonobstant je ne vais pas jeter l'opprobre sur une honorable profession, tous les commissaires aux comptes ne sont pas dans ce réseau, loin s'en faut.
Mais si deux traits et une croix sur un rapport suffisent, les mêmes signes sur un dossier médical et direction la morgue pour le patient, n'était-il pas malade ! Fantasme ?
Emmanuel GIANNESINI, né en 1975, enseignant à Sciences-Po, journaliste et philosophe, maître de conférences à l’Institut d’études politiques de Paris, membre du pole écologique du Parti Socialiste qui en février 2018 a remis sa démission à la ministre de l'enseignement supérieur, lui aussi taiseux désormais. Ceux qui vous soignent vous tuerons, le retournement symbolique de ceux qui soignent en ceux qui tuent évoque les grandes inversions de l’eschatologie des religions du Livre, où les premiers seront les derniers… parions que les britanniques regardent avec appréhension le médecin : voilà déjà un monde derrière le miroir, en Angleterre bien sûr, et pas en France, pays des Droits de l'Homme, méthode COUÉ. Article de septembre 2007 qui faisait suite à la menace d'un leader d’al-Qaida en Irak lors d’une rencontre à Amman avec Canon Andrew WHITE, ecclésiastique britannique travaillant à Bagdad, selon le «Time» en juillet 2007. 
Pas de signes ostentatoires, pas de liste de leurs membres, pas de biens collectifs, pas de grand maître, le système est génial, impossible de dissoudre l'organisation, pieuvre aux huit tentacules, un est coupé un autre repousse, ils ne se connaissent même pas, c'est par signes qu'ils se reconnaissent.
Pas de parrain, pas d'hommes de mains, jamais les mains sales, ce sont eux qui activent les membres des autres réseaux. Un chirurgien harcelé par le fisc, à qui on demande « un petit service », il ne va quand même pas trahir son serment d’Hippocrate, mais sa main tremble, le patient succombe, brutalement son « hernie fiscale disparaît », ordre venu d'en haut, les inspecteurs du fisc abandonnent leurs charges, il y a mis le doigt il devra y laisser plus que le bras, condamné ad vitam æternam à rendre de petits services.
Pour qu'un juge puisse instruire il faudrait qu'il soit célibataire, sans famille, sans amis. FROID DANS LE DOS !  Et s'il veut gratter on l'inonde de dossiers.
Quand on ne peut pas abattre un homme qui bénéficie déjà d'une protection rapprochée, qu'on ne peut pas le supprimer sans éveiller les soupçons (la justice finirait par trouver le commanditaire), quel meilleur moyen pour lui faire entendre raison que de s'en prendre à ses proches, surtout qu'il sera le seul a faire la relation, encore un quérulent processif paranoïaque perturbé par la théorie du complot.
Ce "système" est issu de la "philosophie" du culte de Mithra. Quand Mithra arrive dans la grotte, un corbeau envoyé par le Soleil lui annonce qu'il devait faire un sacrifice, et le dieu, soumettant le taureau, lui enfonce le couteau dans le flanc. De la colonne vertébrale du taureau sort du blé, et de son sang coule du vin. Sa semence, recueillie par la lune, produit des animaux utiles aux hommes. Arrivent alors le chien qui mange le grain, le scorpion qui serre les testicules du taureau avec ses pinces, et le serpent. Quand l'animal est blessé il faut sans cesse lui poser des banderilles, passés maîtres dans l'art de vider leur proie de son sang. 
Beaucoup soupçonnent ce « système » et le craignent, sans en connaître l'origine, un peu comme une superstition « croyance irraisonnée fondée sur la crainte ou l'ignorance qui prête un caractère surnaturel ou sacré à certains phénomènes, à certains actes, à certaines paroles. » Les adeptes de Mithra croyaient à la montée des âmes au ciel à la fin des temps, avec le retour de Mithra sur le char du soleil qui devait purifier le monde par le feu. Dieu de l'aurore il lutte contre les ténèbres, garant de la propriété il protège les troupeaux et assure la prospérité des hommes en faisant tomber la pluie qui fait pousser l'herbe indispensable à leur pâture, mais l'ami des hommes se fait redoutable ; s'il guérit les malades et protège les combattants, il châtie durement les parjures. 
Éric HALPHEN et son beau-père pris dans un scandale de porteurs de valises, chargé en 1994 de l'affaire des HLM de Paris. 
En décembre 1994, Jean-Pierre MARÉCHAL, beau-père du juge HALPHEN, est arrêté à Roissy alors que Didier SCHULLER lui remet une mallette d'argent. Il s'agit en fait d'une opération de déstabilisation du juge de Créteil. Didier SCHULLER s'enfuit aux Bahamas avec sa compagne et leurs deux enfants où y développe de nouveaux réseaux qui le conduiront rapidement en République dominicaine, où il mène une vie de luxe sous un faux nom, il reviendra de cavale huit ans plus tard, le 6 février 2002. Il avait donc d'autre mallettes d'argent. Il est aussitôt mis en examen pour « trafic d’influence », et placé en détention provisoire. En septembre 2001, la chambre de l'instruction la  estime que le juge ne peut pas relancer son dossier et annule toute la fin de la procédure, Éric HALPHEN est dessaisi au profit du juge Armand RIBEROLLES.
BALKANY HLM Bungalow
Juin 2002 Le Parisien ; interview du docteur Jean-Pierre MARÉCHAL. Silencieux depuis sept ans le docteur MARÉCHAL riposte. Brouillé avec son ex-gendre, Éric HALPHEN, attaqué par Didier SCHULLER dont il avait provoqué la cavale il y a sept ans, l'ancien psychiatre décide de rendre coup pour coup aux livres du juge et de l'ancien conseiller général RPR de Clichy (Hauts-de-Seine). A « froid », le docteur MARÉCHAL donne aujourd'hui sa version complète des événements qui bouleversèrent sa vie en 1994 et allaient devenir l'affaire « Schuller-Maréchal », l'enquête qui décida du sort de la présidentielle de 1995. On y découvre un « secret de famille », une « opération séduction », « des gens prêts à tout » et une ambiance de coups tordus. HALPHEN ? « Un psycho rigide ». SCHULLER ? « Un voyou ». Quand un psychiatre règle ses comptes, les mots font mal.
Il n'y aurait peut-être pas eu de procès BALKANY si pour se venger SCHULLER n'avait pas déclaré au juge, le 24 octobre 2013 :  J'ai payé ma dette, je constate aujourd'hui que le président de l'office des HLM de l'époque, M. BALKANY, a été relaxé.
GISCARD - FILLON - CHIRAC la vie de château
Comptables de haut niveau, qui maîtrisent les trois pouvoirs (exécutif, législatif et judiciaire) selon rapport parlementaire belge, et qui depuis la loi PINAY jusqu'à la scélérate loi FAUCHON s'amnistient Guillaume PERRAULT journaliste, « une évolution très grave de la responsabilité pénale en matière d'accidents collectifs »
En d'autres termes, le développement des opérations de fausses factures, factures fictives, blanchiment de capitaux et noircissement de capitaux serait-il possible sans le recours aux connaissances comptables ? La comptabilité a joué un rôle central dans le développement des échanges. En qualité de système d'information, la comptabilité est le langage des affaires dont la mission est de dire la vérité. Cette quête de vérité nécessite que soit d'une part mises en évidence les techniques rhétoriques de manipulation des comptes et d'autre part que puissent être analysées les raisons d'une déviance normative de la part des délinquants en cols blancs« Théorie du langage comptable ou comprendre l'art de la manipulation des comptes » Frédéric COMPIN, né en 1968, docteur en sciences de gestion, en sociologie et en droit. La manipulation des connaissances comptables est-elle intimement liée aux opérations de criminalité financière ?
Ce sont eux qui rendent le monde fou, même les plantes deviennent folles, les animaux et le monde marchent sur la tête. 
Ils n'ont du monde qu'une vision binaire. En fin de carrière la non-résolution de ∏ les taraude, elle est dans le « aime » qui manque à leur home, gardiens du temple. Ils réveillent la belle endormie, la remettent aux mains de celui qu'ils pensent à même de faire le mieux fructifier, fonds de pension, rendement à deux chiffres, empochant au passage une confortable commission, et roule ma poule. Nos retraites après nos salaires, système glouton qui ne peut se nourrir que de la masse. Ce sont qui ont paupérisé l'éducation et la santé publique, les ont laissées aux mains des financiers. Le gestionnaire tue l'apôtre. 
Sommet de la pyramide qu'Éva JOLY disait ne pas pouvoir atteindre, raison pour laquelle elle quittera le Pôle Économique et Financier et de Santé publique, comme bien d'autres après elle, Laurence WICHNIEWSKIÉric HALPHEN, ignorant sans doute que les politiques ne sont que polichinelles entre leurs mains, ils n'ont pas toujours la durée, ils dépendent du suffrage universel, ils ne peuvent pas "laisser du temps au temps".  Système de castes, pardonnez-leur ils ne savent pas ce qu'ils font un plus un égale deux, leur dogme, sauf qu'un unique spermatozoïde et un seul ovule donnent un œuf, peut-être pourraient-ils faire du neuf avec la parthénogenèse. 
La société politique contemporaine : une machine à désespérer les hommes - Toutes les révolutions modernes ont abouti à un renforcement de l'état Albert CAMUS.
« 38 témoins » magnifique thriller, un témoin se tait c'est répréhensible, 38 restent taiseux c'est un phénomène de société, le procureur classe, avant d'enregistrer une plainte il a pour obligation de s'assurer qu'elle ne troublera pas la paix sociale, même les journalistes n'osent pas enquêter, ils seraient poursuivis pour trouble à l'ordre public. Et bien sûr, ils en ont des dossiers ces barbouzes, depuis le temps qu'ils sévicent, se succèdent au ministère de l'Intérieur et de la Justice, sans doute à faire sauter la République et plus encore. Trop de notables impliqués, trop de têtes à faire tomber, probablement faudrait-il faire sortir tous les loubards de prison pour les y faire entrer.
En 1998 sort le Film de Darren ARONOFSKY (réalisateur américain né en 1969), qui évoque un mathématicien de génie, asocial et paranoïaque qui est sur le point de découvrir le secret du nombre Pi. Persuadés que cette découverte est la clé de tous les secrets du monde, des agents de Wall Street et des kabbalistes se lancent à la poursuite du scientifique. Analyse : Avec l'interprétation mathématisante du monde lorsqu'elle est absolutisée est, en elle-même, folie. L'étrangeté du comportement de Max, son regard déréalisant sur les personnes qui abolit leur dimension intérieure et leur densité propre, le monde sans couleur et sans vie des mathématiques, monde figuré ici par le noir et le blanc... tout ceci pour la perception commune apparaît comme folie : dans le monde de Max, il n'y a plus de vivants mais une unique formule qui nous fait saisir, à la limite, l'abstraction mortifère du désir de la science. On pourrait pour développer cela, et redonner ses droits au monde vécu dans toute sa densité, utiliser à propos KANT : l'idée que tout est mathématique et mathématisable est un a priori de l'esprit et une idée régulatrice de la science - non une propriété des choses-mêmes qui sont, dit-il, inconnaissables (puisque les connaître c'est les saisir nos instruments, ici nos mathématiques que nous projetons naturellement sur elles). NIETZSCHE : la mathématisation du réel est d'abord une interprétation, ensuite un appauvrissement de la vie. BERGSON : l'origine de notre regard est la vie, la mathématique est un certain regard de la vie qui a en vue l'action et qui ne peut, par structure, saisir sans illusions le fond mouvant du réel.
De l'autre côté de l'Atlantique - Dans la fabuleuse Amérique - Brillait d'un éclat fantastique, Le Dollar - Il faisait rêver les gueux en loques, Les marchands de soupe et les loufoques - Dont le cerveau bat la breloque, Le Dollar - Et par milliers, de la Vieille Europe - Quittant sa ferme, son échoppe - Ou les bas quartiers interlopes - On part, -Ayant vendu jusqu'à sa chemise - On met le cap sur la terre promise - Pour voir le dieu dans son église, Le dieu Dollar. Jean VILLARD (1895-1982) poète, chansonnier, comédien, écrivain et compositeur suisse, extrait du poème « Dollar » écrit en 1932, un visionnaire, un intuitif, des écorchés vifs les artistes.
En quatre couplets de 16 vers de base octosyllabique rythmée tous les 4 vers d’un vers de 2 syllabes qui claque la rime au mot « dollar » (renversée à la fin en « de l’or ! »), le texte scande des énumérations mitraillant la frénésie économique : "On joue, on gagne, on perd, on triche. / Pétrol’, chaussett’s, terrains, en friches, / Tout s’achèt’, tout s’vend, on d’vient riche, / Dollar !/ (...) Jusqu’au bon Dieu qu’on mobilise / Et qu’on débit’ dans chaque église / aux enchèr’s comme un’ marchandise / A coups d’Dollars !
Auteur de « dollar » en 1932, «  la crise économique bat son plein, il est le premier dans la chanson à donner une voix au sentiment si répandu alors de révolte contre l’aberration éclatante du capitalisme en crise. Voici ce qu’il écrit rétrospectivement  :« 1932. Le fascisme a déjà transformé l’Italie en caserne et remplacé, aux mains de ses enfants, les mandolines par des mitraillettes. Hitler, obscur petit agitateur, vient de se hisser au premier plan de la vie politique, porté par l’enthousiasme des masses teutonnes, assoiffées d’espace vital.  L’Europe commence à sentir les effets de la crise économique aux États-Unis où le mythe de la prospérité s’est effondré, brusquement. Le Dieu Dollar, vidé de son trône, gémit le cul par terre. »
Enclavé, ostracisé, le petit village de Séderon est lui aussi un endroit paisible par excellence, lieu où il ne se passe tellement rien que le temps même y suspend son vol, Horizon perdu, film de Franck CAPRA 1897-1991) tiré du roman de James HILTON sorti en 1933 (romancier et scénariste britannique 1900-1954), Shangri-La, lamaserie nichée dans une vallée inconnue des montagnes tibétaines.

Extrait des critiques de Bifrost : En 1933 paraissait ce roman dans le monde anglo-saxon. C’était avant la Seconde Guerre mondiale, guerre qui a instauré une rupture dans l’histoire, créant un « avant » historique et un « après » contemporain. 1933 est une année charnière qui vit notamment l’arrivée au pouvoir en Allemagne d’Adolf HITLER, et on peut la concevoir comme l’année où l’on passe de l’après-guerre de 14 à l’avant-guerre de 40. 
Ce contexte historique explique non seulement le succès, mais l’importance de ce roman. Ce sont ces conditions très particulières qui créèrent le besoin de Shangri-La. Inspirée par la tradition bouddhiste de Shambhala, Shangri-La, une lamaserie nichée dans une vallée inconnue des montagnes tibétaines, est avant et plus que tout un refuge pour et peuplé d’Occidentaux. 
Chang, le Chinois qui accueille les quatre personnages à la lamaserie, parle parfaitement anglais. Nombre de lamas, y compris le Grand Lama, sont Occidentaux. Le bouddhisme n’est pas à sa place à Shangri-La. Les populations locales n’y font figure que de main d’œuvre — ce qui nous rappelle que le roman a été rédigé alors que nous étions encore en pleine période coloniale.
Décembre 2018, remarquable reportage, "avons - nous tiré les conséquences de 2008", les quatre invités de Marina CARRERE d'ENCAUSSE s'accordaient à reconnaître, comme beaucoup d'analystes, qu'une nouvelle « bulle » finira par éclater, avec des conséquences plus dramatiques encore.
Parmi les invités, Jean-François GAYRAUD, né en 1964 docteur en droit de l'Université Panthéon-Assas, diplômé de l'Institut d'études politiques de Paris, de l'Institut de criminologie de Paris, du Centre des hautes études sur l'Afrique et l'Asie modernes, et auditeur diplômé de l'Institut national des hautes études de la Sécurité et de la Justice. Il a initié une nouvelle réflexion sur le CRIME à partir de la géopolitique afin de donner corps à une « géopolitique et à une géo-économie du crime ». Ses travaux portent en particulier sur l'articulation entre phénomènes criminels (en cols blancs et autres) et crises financières nées de la dérégulation des marchés.
La figure du “prédateur” mondialisé appelle la figure nouvelle du petit criminel global qui se présente souvent sous l’aspect plus “noble” du terroriste. Cet “hybride” prend de multiples aspects que Jean-François GAYRAUD décline dans une casuistique savoureuse » (casuistique : partie de la théologie morale qui s'occupe des cas de conscience), selon présentation de son ouvrage « le nouveau capitalisme criminel ».
Prédateurs – cupides et intouchables, impunis, jamais condamnés pénalement ni financièrement puisque ce sont les sociétés personnes morales qui règlent l'ardoise, modestement – avec une idéologie (science des idées, des concepts, en relation avec les signes)Cupide peut-il rimer avec idéologue ?  Peut-on parler d'idéologie quand même les vautours ne s'en prennent pas au vivant, ils scieraient la branche sur laquelle ils sont assis, ils sont même capables de compassion, ils attendent que leur proie meure avant de la dépecer.
En dehors des besoins essentiels, boire, manger et copuler, derrière toute activité humaine, politique, sociale, économique, culturelle ou religieuse, il y a une idéologie.
Georg BASELIZ né en 1938
Ces individus, ces charognards, se mettent sciemment au volant d'un véhicule dont ils savent qu'il va s'emballer, ils appuient sur l’accélérateur dès qu'il n'y a plus de gendarmes procureur de New-York chargé d'expliquer les "dysfonctionnements", ils savent qu'ils vont droit dans le mur, mais ils en éprouvent une profonde jouissance, une montée d'adrénaline, ce qui bien souvent les mène également vers la drogue et la prostitution, mais ils savent aussi que tel le Phénix ils renaîtront de leurs cendres, plus riches qu'avant, que les politiciens corrompus vont voler à leur secours puisqu'ils ont financé leurs campagnes. » Ils s’en sont pris au menu fretin, pas aux dirigeants des institutions financières David ENRICH, journaliste financier au New York Times

Seul Philip James BECKER, ancien dirigeant d’un fonds d’investissement de un milliard de dollars, a plaidé coupable. Dick FULD, qui aurait gagné 530 millions de dollars entre 2000 et 2007, n’a jamais été condamné après la faillite de sa banque Lehman Brothers, il serait aujourd'hui en possession de plus de un milliard de dollars. Pardonnez-leur, ils ne savent pas ce qu'ils font. 
Nous ne sommes plus dans un combat d'idées, communisme contre capitalisme, libéral contre antilibéral, mais bien en présence d'un système qui creuse le fossé entre riches et pauvres, génère révolutions et dictatures dans le monde entier, système glouton qui se nourrit de la masse et qui s'il n'implose pas tôt ou tard va faire exploser la société. Système mafieux, terroriste, qui après 1929 est passé de la politique de l'épargne à celle de l'endettement qui dépasse de loin les actifs.
The Wolf of Wall Street, film de Martin SCORSESE né le 17 novembre 1942 sorti en 2013, adaptation de l'autobiographie éponyme de Jordan BELFORT, né en 1962, inspiré d'une histoire réelle par conséquent, qui raconte l'ascension d'un courtier en bourse vers la gloire, la fortune et les malversations au cœur des années 1980, le menant à la chute et à une forme de rédemption «  rachat du genre humain par le sacrifice du Christ qui a permis la rémission des péchés et donné un espoir de vie », mais quid des milliards d'individus spoliés ?
Comment certains en arrivent-ils à tuer et à se faire tuer, et sans les excuser, peut-on les qualifier de terroristes quand ils n'ont pas d'objectif politique, ni anarchistes, anticapitalistes ou racistes, juste le sentiment que c'est à l'espèce qu'on en veut, la conscience du Disparaître, du génocide, comment d'autres ne croiraient-ils pas à la théorie du complot, et s’il faut faire le sacrifice de sa vie autant être encore un peu utile aux autres. La résistance est aussi un espoir René CHAR. né le 14 juin 1907 à L'Isle-sur-la-Sorgue (Vaucluse) et mort le 19 février 1988
C'est bien l'image du taureau qui apparaissait en fond d'écran le 5 décembre, sculpture en bronze de l'artiste Arturo DI MODICA,  installée au Bowling Green Park près de la Bourse de New-York après le krach boursier de 1987. La bourse en baisse, déverbal de baiser.
Actualité 6 décembre 2018 (les sept du Québec http://www.les7duquebec.com), les secousses subies par Apple aux États-Unis se répercutent en Chine et sur tous les titres technologiques.
Très dangereux de jouer avec les symboles, les politiques le savent, étudiants qui rejoignent les gilets jaunes, sauf que, c'est le 1er février 2018 qu'eurent lieu les premières manifestations contre les réformes du baccalauréat et de l'entrée à l'université. Idem pour la « pacte de Marrakech » de l'ONU signé le 10 décembre, très antérieur au mouvement actuel, les extrêmes en font naturellement leurs choux gras, tout est bon pour attiser le feu. 
"Populace" qu'il fallait expulser en banlieue, mais aujourd'hui ce sont les cadres et professions libérales qui quittent la capitale, dans l'incapacité de payer leurs loyers.
Quand ils sont venus chercher les communistes, Je n’ai rien dit ; Je n’étais pas communiste. Quand ils sont venus chercher les syndicalistes, Je n’ai rien dit ; Je n’étais pas syndicaliste. Quand ils sont venus chercher les juifs, Je n’ai rien dit ; Je n’étais pas juif. Quand ils sont venus chercher les catholiques, Je n’ai rien dit ; Je n’étais pas catholique. Puis ils sont venus me chercher, Et il ne restait plus personne pour protesterPoème écrit à Dachau par le pasteur Martin NIEMÖLLER. 14 janvier 1892 à Lippstadt et mort le 6 mars 1984 à Wiesbaden,
Curieusement, qui pour avoir fait la relation avec le Veau d'Or ? Le taureau n'est pas le symbole de la force comme l'affirmait la journaliste de la Croix, il manque aux analystes le sixième sens des artistes.  
Comment concevoir qu'avec un simple clic sur la souris un petit tradeur puisse faire disparaître une entreprise, mettre des centaines de personnes au chômage, sans compter les sous-traitants, comment peut-il encore se regarder dans la glace le matin ?  
Si c'est pas moi c'est l'autre, c'est avec de tels principes qu'on finit par coucher avec sa sœur Georges BESSE (1927-1986) assassiné par action directe il était le deuxième sur la liste après le général René AUDRAN (1929-1985), numérologie science des ânes.
Krach boursier de Wall-Street le 24 octobre 1929 qui se propagea au monde entier, entraînant une décennie de récession, chômage, misère, et de profondes mutations, sociales et politiques. L'Histoire un éternel recommencement disait Karl MARX
Un siècle plus tôt effectivement, en juillet 1720, effondrement du « système » de John LAW (1671-1729), aventurier, banquier et économiste écossais à qui l'on doit l'émission de papier-monnaie en remplacement des espèces métalliques, mis en place sous la régence de Philippe d'Orléans afin de liquider la dette laissée par Louis XIV, le roi Soleil ! 
Perte de confiance puis mouvement de panique, les actionnaires porteurs de billets réclamaient leur or, provoquant la banqueroute. 
C'est après sa mort que Louis-Dieudonné sera surnommé le roi soleil en référence à sa gloire et à l'emblème qu'il avait choisit.
Crise de 1929 qui va amener Adolf HITLER au pouvoir, montée des extrémistes, on peut se demander si Donald TRUMPMatteo SALVINIJair BOLSONORO et bien d'autres seraient aux commandes sans la crise de 2008, si Angela MERKEL, physicienne de formation et accessoirement naturiste, aurait été poussée par la sortie. 
Plan Marshall (du nom du colonel George Catlett MARSHALL 1880-1959, l'un des principaux conseillers et stratèges du président ROOSEVELT) « Programme de rétablissement européen » qui répondait donc à la crainte des américains que les institutions démocratiques occidentales ne s'effondrent au profit de l'URSS, la pauvreté faisant le lit du communisme, plan rejeté par l'Union Soviétique et les pays du futur bloc de l'Est, STALINE craignait qu'il ne serve à conquérir le glacis de sécurité de l'URSS. L'année 1947 est considérée comme le début de la guerre froide. 
Ce plan était loin de faire l'unanimité, notamment en Italie où le parti communiste était bien implanté, et en France où après le congrès de Tours, fin décembre 1920, la SFIO s'était décomposée et avait donné naissance au SFIC, futur PCF, événement majeur dans l'histoire de la gauche française.
Parmi les plus farouches opposants, Michel CLOUSCARD (sociologue et philosophe français 1928-2009) proche du PCF, connu pour sa critique du libéralisme libertaire, pour qui il s'agissait d'un gigantesque Potlach (comportement culturel, souvent sous forme de cérémonie plus ou moins formelle, système de dons / contre-dons dans le cadre de partages symboliques. impliquant la soumission d'abord économique, puis comme contrepartie culturelle, esthétique et philosophique, d'une mise sous tutelle des pays libérés par l'armée américaine. 

Il est peu probable qu'après une troisième guerre totale les États-Unis aient de nouveau ces arrières-pensées et le souci de maintenir le plein-emploi, trop occupés à réparer les pots cassés chez eux, s'ils le peuvent.
Lorsqu'il n'y avait pas encore de livres et que peuple était majoritairement illettré il fallait en passer par l'allégorie, les mythes et légendes, les images et symboles, sémiotique visuelle, pub avant l'heure, il fut donc un temps où les religieux étaient les seuls communicants, où L’Église, les églises finançaient savants et artistes, sous réserve d'allégeance bien sûr.
Sécularisation, les financiers sont devenus mécènes, mais les objectifs et les moyens restent les mêmes, nous empêcher de penser, de réfléchir, nous abrutir ; trou de la Sécu, trou dans la couche d'ozone, dans mon pantalon, chaque jour les médias nous en abreuvent, jusqu'à plus soif. Vous êtes heureux ? Ben oui, il y a plus malheureux que nous.  
Raison pour laquelle les médias français sont aux mains d'une dizaine de milliardaires alors qu'il ne s'agit pas pour eux de la meilleure rentabilité. Les films, les séries télévisées, les reportages sur les deux guerres mondiales n'ont jamais été si nombreux, c'est très bien mais est-ce véritablement innocent ? 
Nos grands parents se lamentaient-ils de ne pas avoir la télé, les égyptiens souffraient-ils de ne pas avoir de tablette tactile pour construire les pyramides, comment peut-on être malheureux de ne pas posséder ce qui n'existe pas ? Le BONHEUR est de toutes les époques, la joie de vivre tout simplement, homo-sapiens se serait suicidé nous ne serions pas là pour en parler. 
Mais avec la mondialisation les peuples dits « sous-développés » savent que nous avons l'eau à profusion, l'électricité, que nous gaspillons quand ils meurent de faim, comment n'éprouveraient-ils pas un profond ressentiment envers ceux qui depuis des lustres pillent leurs richesses naturelles, tandis que de notre côté tous nous avons conscience que la croissance débridée et la recherche du profit nous conduisent... droit dans le mur.
Si pour les financiers et politiques « ainsi va le monde », « il faut, on doit », en quoi l'aspiration du peuple serait-elle moins légitime, «  le bien et le mal » troisième dimension de l'idéologie, fin de mois contre fin du monde, mais puisque celle-ci est inéluctable comme nous le rabâchent les religieux, eschatologie discours de la fin des temps, pourquoi je n'offrirais pas dès à présent un peu de bonheur à mes enfants et petits enfants qui n'ont pas demandé à venir dans ce monde là, pourquoi leur payer de longues études s'ils doivent se retrouver au chômage, ma bourse et mes bourses sont aussi en baisse.
Plus personne ne croit aux lendemains qui chantent. Oui pour le genre humain, non pour la lutte finale, et contre qui diantre, Bilderberg, illuminati, complot reptilien ou maçonnique et autres fantasmes
Les français ont soif de Justice, des générations se sont battues pour elle, c'est pourquoi le mouvement des gilets jaunes est fédérateur, qui réunit les indignés avides de Justice, dans tous les sens du terme, y compris cette Justice de la République qui protège les notables, les puissants, responsables et pas coupables paraît-il, mais si prompte à juger les petits délinquants qui pour survivre ont dérobé des marchandises avariés dans les poubelles d'un supermarché. Politiques et nantis croient encore qu'il suffit de quelques miettes pour apaiser la colère du peuple, société de castes.
J'ai compris qu'il ne suffisait pas de dénoncer l'injustice, il fallait donner sa vie pour la combattre - Si l'homme échoue à concilier la justice et la liberté, alors il échoue à tout Albert CAMUS.
Actualité novembre 2017, « Science du pire », « une histoire environnementale de l’humanité »  Vincent MIGNEROT né en 1978 à Lyon, chercheur en sciences sociales, fondateur et président de l’association Adrastia, et Laurent TESTOT né le 27 septembre 1967  journaliste, auteur de « Cataclysme », effondrement systémique qu'ils estiment désormais inévitable, fin de civilisation mais laquelle, nous sommes encore sous celle des romains.
Où se réfugier sur terre, même  Maddly BAMY, la compagne de Jacques BREL, a quitté les Marquises pays de l'indicible espoir.
Paul GAUGUIN 1848-1903 D'où venons nous ? Que sommes-nous ?Où allons-nous ?
L'Humanité 16 avril 2019 : " Les magnats de la Silicon Valley et autres startupers croient-ils sincèrement, comme ils aiment le répéter à longueur de conférences et de plateaux télé, que la technologie va sauver le monde ? 
La réponse se trouve certainement en Nouvelle-Zélande, surnommée Utopia, où plusieurs dizaines d’entre eux achètent des terres pour se préparer à l’apocalypse. Un haut cadre de Facebook, qui venait de s’offrir quelques hectares boisés sur une île où il a fait installer des générateurs, panneaux solaires et un stock de munitions, le disait clairement à la BBC : « Notre société s’apprête à vivre des changements économiques et technologiques spectaculaires et je ne pense pas que les gens le réalisent. Mais nous, oui, la Silicon Valley vit dans le futur. Avec l’automatisation et l’intelligence artificielle, presque la moitié des emplois américains n’existeront plus dans vingt, trente ans. » Une assurance contre l’apocalypse pour les ultrariches.
Un drame social est à venir, qu’ils anticipent d’autant plus qu’ils commencent à avoir conscience qu’ils en sont la cause. Le milliardaire Reid HOFFMAN, fondateur de LinkedIn, s’interroge donc, dans le New Yorker : « Le pays va-t-il se retourner contre les riches ? Contre l’innovation technologique ? Est-ce que ça va se transformer en désordre civil ? En tout cas, plus de 50 % des milliardaires de la Silicon Valley ont pris, d’une manière ou d’une autre, une assurance contre l’apocalypse. » Pour eux, lorsque le peuple aussi s’en rendra compte et se demandera qui s’est enrichi à milliards en détruisant le travail et en creusant les inégalités, mieux vaudra pour les responsables être à plusieurs milliers de kilomètres de là. Et bien préparés. D’autres ultrariches craignent plutôt les bouleversements climatiques, le soulèvement des robots dominés par une intelligence artificielle hostile, KIM JONG-UN, un virus… La preuve, il est 23 h 58 sur l’horloge de la fin du monde, tenue à l’heure par l’université de Chicago. 
Comment concevoir tant de duplicité ? pour qui leurs recherches ? « ils commencent à avoir conscience qu’ils en sont la cause », il serait temps en effet.
C'est un peu la fin du monde qui est en train de se produire Aurélien BARRAU né en 1973, la tête dans les étoiles, plus que tout autre un astrophysicien a conscience que la Terre est un diamant mais fragile.
La société autophage - Capitalisme, démesure et autodestruction - Le mythe grec d’Érysichthon nous parle d’un roi qui s’autodévora parce que rien ne pouvait assouvir sa faim – punition divine pour un outrage fait à la nature. Cette anticipation d’une société vouée à une dynamique autodestructrice constitue le point de départ de La Société autophage. Né en 1962 à Bonn, enseignant la philosophie en Italie, théoricien de la « nouvelle critique de la valeur » et spécialiste de la pensée de Guy DEBORD (1931-1994 écrivain, théoricien, cinéaste, poète et révolutionnaire français), Anselm JAPPE y poursuit l’enquête commencée dans ses livres précédents, où il montrait – en relisant les théories de Karl MARX au prisme de la « critique de la valeur » – que la société moderne est entièrement fondée sur le travail abstrait et l’argent, la marchandise et la valeur. Mais comment les individus vivent-ils la société marchande ? Quel type de subjectivité le capitalisme produit-il ? 
Pour le comprendre, il faut rouvrir le dialogue avec la tradition psychanalytique, de FREUD à Erich FROMM ou Christopher LASCH. Et renoncer à l’idée, forgée par la Raison moderne, que le « sujet » est un individu libre et autonome. En réalité, ce dernier est le fruit de l’intériorisation des contraintes créées par le capitalisme, et aujourd’hui le réceptacle d’une combinaison létale entre narcissisme et fétichisme de la marchandise. Le sujet fétichiste-narcissique ne tolère plus aucune frustration et conçoit le monde comme un moyen sans fin voué à l’illimitation et la démesure. Cette perte de sens et cette négation des limites débouchent sur ce qu’ANSELM JAPPE appelle la « pulsion de mort du capitalisme » : un déchaînement de violences extrêmes, de tueries de masse et de meurtres « gratuits » qui précipite le monde des hommes vers sa chute. Dans ce contexte, les tenants de l’émancipation sociale doivent urgemment dépasser la simple indignation contre les tares du présent – qui est souvent le masque d’une nostalgie pour des stades antérieurs du capitalisme – et prendre acte d’une véritable « mutation anthropologique » ayant tous les atours d’une dynamique régressive.
Jean ROBIN, sinistre éditeur né en 1978, qui a publié l'ouvrage d'Anders BREIVIK, terroriste ayant commis les massacres de juillet 2011 en Norvège, tout en précisant : « je condamne les meurtres perpétrés par l’auteur de cet ouvrage, ainsi que l’idéologie raciste sous-jacente de l’auteur. Ayant été militant chez les Verts l’année de mes 18 ans, un Breivik français à l’époque aurait donc pu me tuer. Pourtant je suis aujourd’hui de droite, et anti-islam et anti-marxiste comme BREIVIK et bien d’autres qu’il cite dans son livre. Donc je condamne d’autant plus son massacre qui n’a aucun sens politique et ne peut qu’éloigner les patriotes du juste combat selon moi ».
Message que ce Tartuffe m'a adressé le 29 mai 2019, après avoir parcouru rapidement quelques pages de mon blog  :   dieu existe, repentez-vous de vos péchés et croyez en jésus c'est ce qu'il me demande de vous dire pour vous sauver de l'enfer éternel» puis le 30 mai : d'où me tutoyez-vous ? vous n'avez aucun respect. Repentez-vous de vos péchés, il n'y a qu'un dieu, et vous passerez devant sa justice, comme tout le monde. 
Diantre, « IL » lui a donc parlé, comme à BUSCH qui ne buvait pas assez, et à SARKOZY qui sans doute aurait dû s'essayer à l'eau de Cana ! J'en tremble !
J'avais pourtant pris soin de citer en préambule Henri LABORIT et Albert EINSTEIN, je ne remets nullement en cause l'existence de Dieu(x), je saurai après mon dernier souffle, ou pas, cela me reste inaccessible malgré mes recherches, je respecte toutes les croyances, sous réserve de tolérance.
BAS LES MASQUES ROBIN DE MOOREA, les religieux, les francs-maçons, l'extrême-droite et l'extrême-gauche, aussi fanatiques que l'islam intégriste, deux mille ans de massacres et de génocides, deux millénaires que les Peuples sont pris en otages par ces gourous, leurs luttes incessantes pour asseoir leur pouvoir et leur dominance, au nom de Dieu, le leur, la haine est leur seul moteur.
Il est vrai que Robin ne se terre pas dans la forêt de Sherwood mais dans une île du Vent, après en avoir tant remué, loin de la populace, récemment condamné à six mois de prison avec sursis et 500 000 francs Pacifique d’amende pour diffamation envers Arnaud BELTRAME et provocation à la haine raciale, et de nouveau un an plus tard, ça calme mais ça ne guérit pas. 
Quel courage de s'en prendre à un Homme, officier supérieur de gendarmerie qui s'est volontairement substitué à une otage au cours de l’attaque terroriste du 23 mars 2018 à Trèbes et a succombé à ses blessures, qui n'est plus là pour lui répondre. 
Peut-être mieux ainsi d'ailleurs, lui au moins est entré dans l'Histoire. J'ai en tout cas désormais au moins une certitude, l'enfer est bien sur terre, certains s'y emploient.

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