VI - RENDRE À CÉSAR.

Lionel ROYER 1852-1928
Sans vouloir réveiller de vaines querelles de clocher, bien étrange que Jules CÉSAR ne situe pas la bataille « décisive » contre les gaulois alors qu'il y avait d'excellents géographes à l'époque, dont STRABON, né en 64 avant J-C, vingt ans avant l'assassinat de J-C, Jules CÉSAR, un peu jeune mais il y avait des précurseurs. 

Mort entre 21 et 25 après J.C. STRABON s'était senti d'abord une vocation d'historien et avait écrit quarante-sept livres de Commentaires historiques où il continuait l'œuvre de POLYBE, traitant la période de ~ 146 à ~ 31 sans doute. Cet ouvrage est presque entièrement perdu. C'est en le rédigeant qu'il conçut la nécessité d'une description générale de la terre habitée, d'un point de vue non seulement scientifique, en raison des liens indissolubles entre l'histoire et la géographie mais aussi politique, dans le dessein d'être utile aux « gens haut placés » dans leur tâche de gouvernement Jean DELORME [bibliste français 1920-2005].

Bien étrange comme le pillage de la Grande Bibliothèque d'Alexandrie.

Temple de Nabû, vieux de 2800 ans, vestige archéologique inestimable, l'entrée principale du sanctuaire dédié au Dieu babylonien de la sagesse a subi des dégâts considérables après l'explosion programmée par les djihadistes de l'État islamique, l'Histoire se répète. Par chance, tous les manuscrits hellénistes n'avaient pas été brûlés, ce qui plus tard avait permis aux moines de redonner les noms de lieux.

STRABON situait Aéria après le Mont Ventoux en venant de Carpentras, possible qu'il se soit trompé sur plans, victime de son strabisme, pas une fois sur les lieux.

Il fallait un lieu mythique pour déplacer tant de gaulois (personne n'y avait donc pensé ?), impossible qu'une telle bataille se soit tenue aussi longtemps près d'un oppidum, les assiégés ne pouvaient pas tenir sans nourriture et sans eau, ni évacuer les corps, hommes et chevaux. Pas un expert en stratégie militaire ne peut expliquer Alésia ou Gergovie telles qu'on les situe aujourd'hui. 

Les gaulois se croient à l’abri dans cette place forte située à 50 km de Dijon, et surtout, ils espèrent qu’une grande armée gauloise va venir les délivrer des légions qui l’assiègent. CÉSAR fait construire une double rangée de fortification, à la fois pour empêcher les gaulois de sortir d’Alésia et pour se mettre à l’abri des 300 000 soldats que Vercingétorix attend. Après deux mois de siège, le chef gaulois se rend en septembre 52.

Montagne de Palle, et au pied la bergerie où en mai quantités de randonneurs viennent admirer des champs de pivoines sauvages, Roses de la Pentecôte.
Si CÉSAR ne situe pas c'est que l'endroit était déjà légendaire pour les celtes et/ou gaulois, un haut lieu du paganisme, il ne fallait surtout pas qu'il le redevienne.
De tous temps Séderon est un carrefour, il suffisait d'un veilleur au sommet de Palle, et un autre au sommet de Bergiès pour voir les romains arriver, et c'est au pied de la montagne de Palle,  bergerie où l'écho se propage à l'infini, qu'ils sonnaient du carnyx (trompe de bronze qui effrayait tant les romains). Carnyx, ou carnynx ou carnux utilisé lors des guerres chez les celtes pour galvaniser et mener les troupes et pour effrayer et impressionner l’ennemi. C'est aussi à la bergerie qu'on trouve les derniers fossiles, la montagne de Palle n'avait donc jamais été en dessous du niveau de la mer.

Yahweh dit à Josué :  Vois, j’ai livré entre tes mains Jéricho et son roi, ainsi que ses vaillants hommes. Marchez autour de la ville, vous tous, les hommes de guerre, faites une fois le tour de la ville ; tu feras ainsi pendant six jours. Sept prêtres porteront devant l’arche sept trompettes retentissantes ; et le septième jour, vous ferez sept fois le tour de la ville, et les prêtres sonneront des trompettes. Quand ils sonneront de la corne retentissante, et que vous entendrez le son de la trompette, tout le peuple poussera une grande clameur, et le mur de la ville s’écroulera ; alors le peuple montera, chacun devant soi.  Trompettes de Jéricho, livre de Josué, traduction de CRAMPON 6:1-62
C'est par Sisteron et la vallée du Jabron que les romains étaient approvisionnés, 60 000 soldats accompagnés de leurs servants et auxiliaires, soit presque 100 000 personnes, le tout s'étirant sur une distance d'environ 30 kilomètres, distance entre Séderon et Sisteron 40 km. 

Aéria suffisamment vaste pour accueillir 80000 combattants et 15 000 cavaliers, c'est uniquement en mettant le feu un jour de mistral que les romains pouvaient les déloger. Pont médiéval Châteauneuf-de-Chabre, XIV ou XVe siècle (chabre, du latin camera « voûte »), qui n'existait pas avant le Moyen-âge. Ce n'est donc pas par la vallée de la Méouge que les romains pouvaient passer, ils auraient été massacrés, le chemin de vérité où depuis la nuit des temps les chercheurs de vérité venaient faire leur périple,  selon Roger GUASCO, passe par la crête.

Moines qui avaient redonné les noms de lieux Guesset (Guisset ou Gueysset) aux Adrets et Font Bessonne, monastère et léproserie, moines protégés et enrichis par DAGOBERT, loin d'être un roi faits néants.



Jules CÉSAR triomphant, qui comme tous les conquérants va s'employer à détruire le mythe, mais mission impossible si sur les lieux il n'y a aucun vestige, s'il s'agit d'un sanctuaire naturel. 

Seule solution pour éviter qu'il redevienne un lieu de culte, de pèlerinage, construire ses propres édifices, mais là encore, les douze travaux d'Hercule s'il s'agit de "la Montagne des Dieux", et par quoi remplacer quand Rome acceptait toutes les croyances. À la gloire de CÉSAR, mais il a bien des soucis, et huit ans plus tard il est assassiné.

C'est l’étymologie de sed qu'il fallait chercher. Le réséda est une plante herbacée dont le nom vient du latin rĕsēdāre : calmer (d'un mal), guérir. sēdāre : faire asseoir, d'où : faire tenir en repos, calmer, apaiser (apaiser la soif, faire tomber la fatigue...) et en français : sédatif : calmant sēdātŏr : celui qui apaise. Quant à Roulelles, rien à voir avec Routelles et route, du latin rupta, voie frayée. 

"La Rose et le Réséda, celui qui croyait au ciel, celui qui n'y croyait pas" Louis ARAGON (1897-1982) et « au nom de la Rose » Umberto ECO (1932-2016) que n'y avais-je pensé plus tôt. 

Charles de PROVENCHÈRES (1904-1984) archevêque d'Aix-en-Provence qui en 1967 reconnaît officiellement le culte de Sara la Noire, déclarant alors :  comme beaucoup d'autres saints, il n'est pas possible de donner des précisions vraiment historiques sur le personnage de Sainte Sara, mais c'est aux historiens et non à l’évêque d'approfondir ce problème (?). 

Mgr de PROVENCHÈRES qui encourage petite sœur Magdeleine dans ses fondations nouvelles : première fraternité ouvrière en 1946, fraternité de rite oriental en 1948, la tente au milieu des musulmans en 1948, la roulotte au milieu des gitans en 1949 etc.  vingt ans déjà par conséquent qu'il s'intéressait aux gitans. « Problème des historiens  », ben voyons ! Eux aussi pensent à leur carrière, dire que la France ne commence pas avec Saint-Louis, contrarier les politiques plus de subsides.
Saintes-Maries-de-la-barque avant d'être de-la-Mer

L’élément décisif pour moi, c’est que Clovis fut le premier roi à être baptisé chrétien. Mon pays est un pays chrétien et je commence à compter l’histoire de France à partir de l’accession d’un roi chrétien qui porte le nom des Francs De GAULLE à David SCHOENBRUN, journaliste américain, à propos de la France et de son destin 1959.
Boumians, parqués durant un demi siècle à la Sainte-Baume par le comte de Provence, ils étaient à la recherche de ce lieu, de leur origine, c'est en nous comme les anguilles remontent en mer des Sargasses, avant qu'on ne leur accorde le droit de pèlerinage aux saintes-Maries-de-la.... BARQUE, mon seigneur est trop bon.
Sous Aliénor d'Aquitaine, née vers 1122 ou 1124 , morte le 31 mars ou le 1 avril 1204, Paris compte 50 000 habitants qui vivent dans le froid, la misère et l'insalubrité. C'est elle qui va faire connaître le vin de Bordeaux, en France et en Angleterre, une piquette à l'époque, mais indispensable pour suppléer à l'eau contaminée, elle n'était pas de Cana. Sous le règne d’Henri II (5 mars 1133 - 6 juillet 1189) va naître la légende du roi Arthur dont il se disait le descendant, et parmi ses cinq fils Richard Cœur de Lion et Jean Sans Terre.  
Site païen Mont Anis
Joseph d'Arimathie, personnage du Nouveau Testament introduit par les auteurs des quatre évangiles dans la péricope de la mise au tombeau, notable juif membre du Sanhédrin qui procède à la descente de croix  et à l'inhumation de Jésus, et qui selon des légendes médiévales aurait recueilli le sang du Christ dans un vase, le Saint Calice ou Saint Grall, et aurait participé à l'évangélisation de la Grande-Bretagne avec l'apôtre PhilippeSaint Patrick, patron des Irlandais, né au nord de l'Angleterre actuelle vers 385, enlevé à adolescence par des pirates Irlandais et vendu en tant qu'esclave. 

Que l’Église ait cherché à récupérer les cultes païens quand elle ne pouvait pas les enlever de la mémoire popul aire c'est humain, pas divin. Les politiques aussi s'y entendent pour se réapproprier les symboles, « au secours Jeanne d'Arc », mais de là à refaire l'Histoire.

C’est en 1425 à Sisteron qu'on signale les premiers roms en France et, par hasard, c'est en 1448 que des fouilles entreprises par le roi René, comte de Provence, permirent de découvrir des reliques  qui seraient celles des saintes femmes. Dès que la découverte fût connue les Saintes-Maries-de-la-Mer sont devenues un haut lieu de pèlerinage. Les tziganes appelés aussi romanichels et surtout bohémiens ont fait de Sara leur patronne protectrice.

La célèbre chanson du «Bon ROI DAGOBERT » date de la Révolution française. Selon la légende, DAGOBERT était tellement distrait qu'il avait l'habitude de mettre ses culottes (ses braies, pantalons) à l'envers. Selon Wulfram de Strasbourg (VIIIe siècle) il avait l'habitude de se prendre les pieds dans les tapis de ses palais et des églises et de chuter, sous les regards médusés des témoins.  
Triangle d'or de DAGOBERT, Gisors, Stenay et Rennes-le-Château, des scientifiques, des historiens y ont consacré une grande partie de leur vie, beaucoup persuadés qu'il a été jeté en pâture pour dissimuler des lieux plus prestigieux. Bien étrange que personne n'ait pensé à inverser le triangle. Décoder GISORS devient un jeu d'enfant.

 G  Gisors possession de Blanche de Castille au XIIIe siècle, fille d’Alphonse VII  de Castille et d’Aliénor d'Angleterre, petite-fille d'Aliénor d'Aquitaine, la nièce des rois Richard Coeur de Lion et Jean Sans Terre.   I  Île de la Cité, champs Élysées triangle d'or, là où DAGOBERT met son épée en bois de chêne.   S  Stenay résidence royale mérovingienne où fut inhumé DAGOBERT II après son accident de chasse en forêt de Woëvre à 7 km de là.  O  Orléans, le trou dans son pantalon, là où est baptisé Sigebert Ier né vers 535, fils de Clotaire 1er  et d'Ingonde, en présence de DAGOBERT.   R  Rennes-le-Château, petit parchemin où il serait écrit :  A DAGOBERT II Roi et à Sion est ce trésor et il est mort .  S  n'est pas le prieuré de Sion, Gérard de SEDE s'est pris les pieds dans le tapis, Saintes-Maries-de-la-Mer, le petit navire qui n'a jamais navigué.

Si vous retournez le pantalon de DAGOBERT, où si vous le regardez d'Anvers où il chassait le lapin, vous gagnez le bonnet d'âne. À l'époque l'âne était considéré comme un animal très intelligent et le bonnet censé lui faire passer cette qualité. Mais décoder GISORS à l'envers me demandera bien des années encore.
  
Bérenger SAUNIÈRE [1852-1917] avait compris, sa maquette inversée, et là encore, pas un hasard François Mitterrand à Rennes-le-château le 2 mars 1981, quinze jours avant la date du premier tour de l’élection présidentielle qui le verra devenir Président de la République le 10 mai suivant. Pour certains il s'y rendit pour rendre hommage à on ne sait quel culte ou personnage afin d’en recevoir les bonnes grâces pour son avenir politique, pour d’autres, en Grand Initié il venait sur le lieu détenant le Grand Mystère de la France. Mais peut-être voulait-il simplement montrer aux initiés qu'il était prêt aux plus grandes responsabilités, dont le bouton nucléaire.

JÉSUS SUBLIME FIGURE DE PAPIER pour Nanine CHARBONNEL spécialiste de la métaphore, et alors !  Va-t-on maudire tous les auteurs de romans qui nous ont fait rêver, leurs œuvres ne sont-elles pas éternelles. 

Mythe du Gévaudan et légende celtique
Un mythe est une construction imaginaire qui se veut explicative de phénomènes cosmiques ou sociaux, et surtout fondatrice d'une pratique sociale en fonction des valeurs fondamentales d'une communauté à la recherche de sa cohésion, porté par une tradition orale. Une légende part de faits réels, transmise également par oral, «  bouche à oreille », « téléphone arabe », de sorte que, lorsque la phrase passe par différentes personnes elle n'a plus la même signification, chacun en a modifié le sens, en fonction de son vécu, de son interprétation, de sa compréhension, de ce qui l’a marqué ou ce qui lui a semblé important ou accessoire. Les hagiographes n'ont fait que reprendre des légendes colportées bien souvent avant l'écriture, ils les ont interprétées en fonction de leur religion, ou à la gloire de leur bienfaiteur.

La Bible, plusieurs auteurs, magnifique légende, « matrice du monde moderne » pour Frédéric LENOIR, sauf que, « Dernière Tentation » de Martin SCORSESE (1988 en France) adaptée du livre de Nikos KAANTZAKIS (1955 - penseur influencé par NIETZSCHE et BERGSON, tenté également par le marxisme et le bouddhisme) on a incendié des cinémas, quatorze blessés dont quatre sévères à Paris, un spectateur a même été tué en province, les intégristes ne sont pas uniquement islamistes.

En quoi était-ce blasphématoire de le présenter en homme qui doute, pourquoi alors le psaume 22 , surtout que le film ne remettait pas en cause son existence ? "Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné", des centaines d'interprétations plus ou moins oiseuses, ou peut-être seulement une virgule mal placée, mon Dieu, mon Dieu pourquoi...., m'as-tu abandonné ?
Et pourtant elle tourne !
GALILÉE devant le Saint-Office (les Rois mages ?) en 1632 Joseph NICOLAS huile sur toile Louvre.

NOUVELLE HISTOIRE DE JÉSUS, UNE DE PLUS, MAIS À LA LUMIÈRE D'AÉRIA QUI REND CADUQUE LA THÈSE MYTHISTE SELON LAQUELLE IL N'A PAS DE RÉALITÉ HISTORIQUE. 

Jésus qu'on reconnaît comme le Messie à la naissance, à qui on apporte des présents et qu'on laisse dans la nature durant trente ans, sans culture religieuse (peu assidu à la synagogue) c'est vrai que cela ne résiste pas à l'analyse. Même le DALAÏ-LAMA a été éduqué, « formaté ». Roi mages qui comme les Trois Mousquetaires étaient quatre, GaspardMelchior, Balthazar et Taor prince de Mangalore Inde du sud. 

Non seulement il y en avait beaucoup de Marie et Joseph il y a deux mille ans, bien des enfants sont nés sous cette étoile de Bethléem la même nuit, comment a-ton reconnu le bon ?

« Massacre des Innocents » relaté dans l’Évangile selon Matthieu (pour la majorité des spécialistes la date de composition de cet évangile se situe après 70 et avant 80-85 voire 100) ordonné par HÉRODE, craignant la concurrence d'un roi des Juifs dont la venue lui avait été annoncée par les Mages, peu après la naissance de Jésus.
Rome acceptait toutes les croyances, un patchwork, pour peu qu'elles ne menacent pas l'Empire. Ce sont les juifs que les romains craignaient le plus, et aussi les gaulois, sac de Rome en 390 avant J-C dont ils ne s'étaient jamais remis. NÉRON (15 décembre 37 – 9 juin 68) n'a jamais assassiné de chrétiens, ils n'existaient pas à l'époque. C'est Flavius JOSEPHE (Joseph fils de Matthatias le Prêtre né à Jérusalem en 37/38, mort à Rome vers 100) qui à la fin du premier siècle évoque très succinctement Jésus de Nazareth, Testimonium flavianum.
Même si l'authenticité fait débat parmi les exégètes, « comment un juif orthodoxe resté fidèle au judaïsme jusqu'à sa mort, et qui a éduqué ses fils dans cette religion, un juif qui considère comme son plus grand orgueil celui d'être le descendant d'une souche sacerdotale hébraïque, un juif qui écrit, comme lui-même le dit dans la présentation des Antiquités judaïques, pour démontrer la supériorité de la religion mosaïque sur toutes les autres, ne peut absolument pas avoir reconnu comme vrais les concepts de base de la catéchèse chrétienne, il ne peut avoir affirmé que Jésus était le vrai Christ, c'est-à-dire la réalisation du Messie dont lui-même, en tant que juif, attendait encore la venue », même si des ajouts d'origine chrétienne ont altéré certaines sections afin qu'elles s'accordent aux dogmes chrétiens (dans une étude publiée en 2014, Paul HOPPER compare le style narratif du Testimonium avec d'autres passages des Antiquités judaïques et conclut que le Testimonium présente des anomalies qui plaident pour l'interpolation complète) JÉSUS a bien une existence réelle, c'était un prophète, une légende qui au fil des siècles a été magnifiée par plusieurs auteurs.
QUI EST MITHRA ? Disons, pour faire simple, qu’il est le principal prototype sur lequel Rome a calqué le personnage imaginaire appelé Jésus Christ. Car Jésus a eu bien d’autres modèles… Si Mithra, l’homme-dieu, est issu d’une légende très ancienne, son existence historique est attestée, contrairement à celle de Jésus. L’histoire de Mithra est bien connue, puisque les évangiles nous la racontent in extenso, tout en l’attribuant à un autre.   La véritable histoire de Mithra s’est déroulée 2000 ans avant notre ère, il y a donc environ quatre millénaires. Longtemps après, l’empire romain a été amené à inventer Jésus, contemporain de Jules César, qui aurait vécu la vie de Mithra mais 2 millénaires après ce dernier. Les raisons pour lesquelles Rome a monté cet énorme mensonge, je les ai amplement expliquées. L'affaire Jésus est si lourde de conséquences, si présente encore aujourd'hui, qu'il importe d’y revenir encore et encore. Xavier SÉGUIN Eden Saga. https://eden-saga.com/tag/religion-d-eveil  
Le mithraïsme fut le plus redoutable antagoniste du christianisme. Il pénétra à Rome vers la moitié du premier siècle avant notre ère, et connut son apogée vers le troisième siècle, se propageant dans les plus lointaines provinces de l'Empire, attirant surtout les légionnaires et les vétérans colonisateurs qui le trouvaient conforme à leur éducation militaire et virile. 
Si le christianisme eût été arrêté dans sa croissance par quelque maladie mortelle, le monde eût été mithriaste Ernest RENAN1823-1892, écrivain, philologue, philosophe et historien français curieux de science, immédiatement convaincu par les hypothèses de DARWIN sur l'évolution des espèces, et qui a consacré quarante ans de sa vie à établir que le «génie du christianisme», c'est d'avoir sublimé sa propre légende
Plusieurs empereurs se firent initier aux mystères de Mithra. HADRIEN (Publius Aelius Hadrianus, dit Hadrien, 24 janvier 76 - 10 juillet 138 qui succède à TRAJAN en 117, et règne jusqu'à sa mort en 138) , COMMODE ( 31 août 161 – 31 décembre 192 qui régna de 180 à 192), AURÉLIEN (né le 9 septembre 214/215 mort en septembre 275, empereur de l'été 270 à septembre 275, il réunifie l’Empire romain et perpétue l’œuvre de consolidation de l'Empire face aux Barbares, il entame des réformes religieuses et monétaires, préludes à celles de la Tétrachie dix ans plus tard).
Le mithraïsme, vers la fin du second siècle, fut reconnu officiellement comme une religion de l'Empire. Mithra fut regardé comme « le protecteur et le soutien de l'Empire » (fautorii imperii sui). Son culte s'était fondu avec celui du Soleil, Hélios, puissance divine souveraine et invincible. La date d'une de ses fêtes les plus importantes, qui en célébrait le retour (dies natalis Solis invicti Mithra) fut fixée au 25 décembre (solstice d'hiver). Elle fut d'ailleurs reprise par le christianisme qui en fit la fête de Noël.
Il est dit que CONSTANTIN  (Flavius Valerius Aurelius Constantinus en latin), né à Naissus en Mésie (aujourd'hui Niš en Serbie) le 27 février 272  et mort le 22 mai 337 après 31 ans de règneaurait hésité entre Christianisme et Mithraïsme, alors que l'empereur JULIEN (Flavius Claudius Julianus 331/332 – 26 juin 363)  s'attacha à la métaphysique néoplatonicienne et aux traditions de mystères en particulier, au mithraïsme dans sa noble de restauration des cultes romains pour enrayer la progression du chris­tianisme." 
Le processus de christianisation de l'Empire romain à partir de CONSTANTIN Ier et les racines chrétiennes de l'Europe demeurent un phénomène discuté par les historiens. Paul-Marie VEYNE (né en 1930), esquisse un processus forcé (les conditions socio-culturelles n'étant pas remplies) et insiste sur « la stature exceptionnelle » et la « piété visionnaire » de CONSTANTINRamsay MACMULLEN (né à New York en 1928), décrit un processus accompagné — par effet boomerang — de paganiser le christianisme. Marie-Françoise BASLEZ (née le 5 mai 1946), met en avant l'imprégnation chrétienne de l'Empire préexistant à la conversion de CONSTANTIN, et voit dans la conversion de l'empereur une décision politique, doutant de sa sincérité. Elle suggère une christianisation paisible et insensible de longue durée.  Quant à Jean-François KAHN (essayiste, né le 12 juin 1938), il estime que « ce fut peut être la plus grande ruse de CONSTANTIN que de rattacher le christianisme au pouvoir plutôt que de devoir céder le pouvoir au christianisme. »
On voit donc que durant quatre siècles le christianisme n'est pas la religion dominante, et si en 313 l'empereur CONSTANTIN proclame la liberté de culte et protège les Eglises chrétiennes, mettant ainsi fin aux persécutions, il ne s'agit pas formellement d'une officialisation du culte chrétien mais plutôt de sa mise à égalité avec les autres cultes, les chrétiens ne constituent alors qu'une faible minorité de ses sujets répartis très inégalement à travers l'Empire, essentiellement en Orient et en Afrique du Nord.
La christianisation a donc pris plusieurs siècles, il faut du temps pour qu'une idée nouvelle imprègne le conscient et l'inconscient collectif, surtout lorsque la transmission est orale, qu'il n'y a pas encore de livres, pour qu'une pensée change le monde, il faut d'abord qu'elle change la vie de celui qui la porte, il faut qu'elle se change en exemple Albert CAMUS, et c'est sans doute aussi parce que les chrétiens ont été persécutés, qu'ils avaient remplacé les juifs comme force d'opposition au pouvoir en place, qu'ils ne prônaient pas la révolution, que l'opinion a fini par se rallier à leur philosophie.
La Gaule était le cœur du territoire dirigé par CONSTANCE CHLORE (205-306) père de CONSTANTIN qui, contrevenant aux règles de succession inaugurées par DIOCLÉTIEN (244-311/312) lui succède. De 306 à 312 il règne sur la Gaule et celle-ci constitue le fondement de son pouvoir en même temps que le lieu où il s’exerce. On voit mal comment il aurait pu imposer le christianisme sans offenser les gaulois, à qui d'ailleurs il avait accordé des remises d'impôts. Allez, impies, car nous vous laissons cette liberté, allez vous livrer à vos sacrifices, à vos banquets, à vos fêtes, à vos ivresses, sous couleur de piété ; adonnez-vous aux voluptés, et, sous le prétexte mensonger de sacrifier, satisfaites votre intempérance et vos passions, il craignait qu'une proscription générale du culte païen ne suscitât des désordres et des insurrections, leur laissant la liberté de culte. S'il voulait que le christianisme triomphe c'est par la persuasion.
Robert AMBELAIN (1907-1997), occultiste et franc-maçon, auteur de "Jésus ou le mortel secret des Templiers" ( 1970),  "La Vie secrète de saint Paul" (1972),  "Les Lourds Secrets du Golgotha" (1974), reprend la thèse de Daniel MASSÉ (celle d'un Jésus zélote), qu'il estime victime d'une cabale qui en explique le peu de succès. C'est la découverte de ce secret caché par l'Église qui aurait causé la chute de l'Ordre des Templiers.
Cette constatation que les Gaulois fondèrent la Galilée conduit à cette troublante énigme de l’origine du plus célèbre des galiléen : Jésus ! La question que l’on se pose alors est : Jésus était-il Juif ? n’était-il pas plutôt descendant des Gaëls ? Cette thèse de l’origine gauloise de Jésus fut soutenue par plusieurs auteurs dont Paul Le COUR (écrivain, ésotériste et astrologue français 1871-1954) dans son livre « Hellénisme et christianisme » ainsi que par M. de LAFONT auteur de l’ouvrage « Les Aryas de Galilée et les origines aryennes du christianise » (1902).
Évidemment les catholiques ne l’entendent pas de cette oreille et protestent contre la pensée que le Christ soit autre chose qu’un juif qui baigne profondément dans la révélation de l’Ancien Testament. Il faut souligner ici un confusion monumentale, et même inadmissible entre Jésus et le Christ. Je parle ici de l’origine du Christ, lequel n’a pas de nationalité, mais de celle de Jésus Rigobert MONTSEGUR.
Impossible de réconcilier chrétiens et mythistes, en revanche, jumeaux qui naissent à Aéria, dans la Cité des dieux, un signe fort.... pour les gaulois, surtout si c'est au moment d'une fête du calendrier lunaire, pas solaire comme le nôtre. Plusieurs historiens ont avancé cette hypothèse, Thomas, « jumeau » en araméen (Te oma), traduit en grec Didymos. Thomas disciple de Jésus, plusieurs fois mentionné dans l’évangile de Jean, souvent avec l’indication du surnom par lequel il est connu : Didyme, ”jumeau” en grec, mais rien n’est dit dans l’évangile sur la parenté

Les jumeaux sont nés en Provence, aux Adrets et Font Bessonne (côté soleil et besson jumeaux), en septembre, mais peut-être que la date à retenir est celle de leur conception, en janvier. Ce sont les moines qui ont codé par la toponymie, près des Lébrières (la bruyère, le compost) et du Roubion (rubicon), quand d'autres n'avaient cesse de multiplier les chausse-trappes ils remontaient à la source.

Jumeaux qui naissent à Aéria, Cité des dieux puisque STRABON contemporain de CÉSAR l'appelait ainsi, très grand danger pour les romains, ce n'est pas sans rappeler Romulus et Rémus, nouveaux-nés abandonnés et recueillis par une louve qui les allaite, histoire légendaire des fondateurs de Rome, 771 avant J-C. Gestation pour autrui.

« Les bergers étaient dans les champs avec leurs troupeaux cette nuit-là » or, fin septembre ils rentrent les moutons, il n'y a plus d'herbe, en vingt ans je n'ai connu qu'une année à regain. La saison des pluies débute en octobre, il fait alors trop froid pour que l'herbe repousse.
Long voyage, pas encore de « Route du temps » il fallait passer par la mer, les romains ne pouvaient pas enlever les enfants à la naissance, ils ne les ont pas enlevés, six ou sept ans plus tard ils les ont achetés, origine des présents, nés... à nouveau, tous les chemins devaient conduire à Rome. Pour les gaulois ce n'est pas un drame, ils seront toujours des leurs puisque d'origine divine, et s'ils finissaient à la tête de l'Empire, si tel était leur destin ? Si pour les juifs Jésus n'était pas le messie pour les Barbares c'était un grand prophète.

Dans le troisième tome de son œuvre consacrée à la vie de Jésus BENOÎT XVI livre ses estimations théologiques sur les erreurs fixant la venue au monde du messie chrétien, il est possible d'établir clairement que la naissance de Jésus remonte à 6 ou 7 années avant la date officiellement reconnue.
C'est Johannes KEPLER qui, en observant en 1603 une conjonction très lumineuse entre Jupiter et Saturne dans la constellation des Poissons, fit un rapprochement avec l'étoile des mages grâce à un texte hébreu du rabbin ABRAVANEL. Pour les astrologues juifs, le Messie viendrait d'une conjonction de Saturne et de Jupiter dans la constellation des Poissons.

KEPLER calcula alors qu'en l'an 7 av. J.-C. la même conjonction s'était produite trois fois dans la même année : le 29 mai, le 3 octobre et le 4 décembre. La répétition de cet alignement étant extrêmement rare, il en conclut que des observateurs attentifs du ciel comme les mages avaient pu la remarquer ; il l'assimila à l'étoile de Bethléem, et plaça donc la Nativité en l'an 7 av. J.-C. Ses résultats furent aussitôt publiés, mais ils passèrent inaperçus, tout le monde croyait à l'époque que Jésus était né en l'an 1.

En 1925 l'orientaliste allemand Paul SCHNABEL déchiffra les anciennes tablettes cunéiformes de l'école d'astronomie de Sippar. Celles-ci confirmaient qu'une "grande étoile" formée par la réunion des planètes Jupiter et Saturne avait été observée en Poissons pendant plus de cinq mois en l'an 7 av. J.-CCINQ MOIS ET PAS UNE NUIT.

Pourquoi BENOIT XVI retient-il la théorie de KEPLER quand la majorité des théologiens accepte (?) actuellement de la fixer en - 4 (voire un peu avant), puisque cette naissance est située peu de temps avant la mort d'HÉRODE située à la fin de la légation de Varus quand il fut gouverneur de Syrie.

PONCE PILATE, dont certains historiens du XXe siècle émettent l’hypothèse qu’il avait partie liée avec le confident de l’empereur et puissant préfet du prétoire SÉJAN, lequel aurait nommé PILATE dans l’idée de susciter vers la fin des années 20 une révolte juive et sa répression.

SÉJAN, né en 20 avant J-C, préfet du prétoire au moment de l'ascension de TIBÈRE, initiateur de la garde prétorienne, véritable contre-pouvoir pour les empereurs, POUTINE.... en quelque sorte.

Mais SÉJAN est tombé en disgrâce, il sera exécuté en 31, PILATE pouvait-il y échapper, l'un et l'autre n'en savaient-ils pas trop ? PILATE, renvoyé à Rome fin 36 ou début 37 afin qu'il s'explique auprès de l'empereur, mais l'histoire perd ensuite sa trace, soit il aurait fini comme martyr à Rome, soit il se serait suicidé. DARDANUS qui ne voulait pas finir comme eux (?). Le martyre, la victoire des vaincus Alphonse de LAMARTINE.

« Opération des services secrets », comme l'affaire Jeanne-d'Arc pour  Roger SENZIG et Marcel GAY journaliste, ce qui a permis à ce dernier de rebondir dans l'actualité et de décrypter de biens sombres affaires de la cinquième République. Je suis remonté bien plus loin que lui.

ILS VEULENT LE MESSIE, ET BIEN DONNONS LEUR, ON NE VA QUAND MÊME PAS ATTENDRE LA SAINT GLINGLIN, LES CALENDES GRECQUES !

Tentative d'unification qui a échoué, un siècle plus tard on n'en a pas fait un remake mais considéré que le scénario avait été tourné.
Le Rétablisme est un courant de pensée qui affirme formellement que l’Histoire et l’Historiographie, communément admises, ont été établies depuis des siècles sur des fondements faussés, tronqués, voire tout simplement fabriqués de toute pièce Nars Eddine BOUTAMMINA
La Pâque célébrée un jeudi, si Jésus est mort à 33 ans et 6 mois c'est en 27 de notre ère, s'il est mort en 33 il avait 40 ans. L’Église serait-elle en train de faire son Bad Godesberg afin de préparer les esprits ?

L'un des jumeaux est élevé chez les esséniens, l'autre par Marie, Pierre ou Paul peu importe, le plus important, que trente ou trente-cinq ans plus tard ils se ressemblent encore, comme deux gouttes d'eau. Les juifs ne prirent pas cette peine, ils ne croyaient pas qu'il puisse être le Messie tant attendu.

Jésus n'a pas accompli les prophéties messianiques, il n'a pas rempli les critères attribués au Messie, les versets bibliques se référant à Jésus sont des erreurs de traduction, la croyance juive se fonde sur une révélation nationale. Les juifs acceptent de plus en plus difficilement l’occupation des Romains qui leur imposent des taxes et contrôlent leur mode de vie. Ils attendent avec impatience le Messie, annoncé dans la Bible hébraïque, il doit les libérer et rétablir le royaume d’Israël.

Michel BENOÎT page 63 de Dieu malgré lui - le Nazôréen n’a pas transformé l’eau en vin à Cana ; il a résolu discrètement un petit problème pratique. Dans l'antiquité le vin contenu dans les jarres était imbuvable si on n'ajoutait pas de l'eau, ce qu'il a fait. 94 - Jésus ne s’attache pas aux conséquences spectaculaires de ses guérisons : il s’en protège au contraire, et tente même de les dissimuler. L’essentiel pour lui n’est pas là. L’essentiel est caché dans l’esprit du corps humain. 87 - c’est en convoquant Béelzéboul, chef des démons, qu’il guérit les malades. 90 - alors les disciples s’éparpillent dans les villages, faisant partout des guérisons. 27 - sur la colline aride de Qumrân les esséniens vivent en communauté, mettant « tous leurs biens en commun ; chez eux règne un merveilleux esprit de partage 374 - au moment même où les églises traditionnelles semblent entrer dans une longue agonie, plongeant cette civilisation dans l’incertitude sur ses valeurs fondatrices. 249 - à quoi bon apporter les preuves d’une supercherie bimillénaire, détruire si on ne construit pas ?

POURQUOI LES JUIFS, QUI NE CROYAIENT PAS AU MESSIE, ALORS QUE JÉSUS ÉTAIT NÉ AU DÉBUT DE L'ÈRE DES POISSONS, N'ONT-ILS PAS NIÉ SON EXISTENCE ?

Cela remettait en cause toutes toutes les divinités depuis Horus, dieu des égyptiens, né de la vierge Isi-Méri le 25 décembre, dans une grotte et une mangeoire, dont la naissance aurait été annoncée par une étoile à l’est et attendue par trois hommes sages. Il enseignait au temple à des enfants et aurait été baptisé à trente ans. Il effectua des miracles et il éleva « El-Azar-us » d’entre les morts, il a eu douze disciples, il marcha sur l’eau, fut transfiguré sur la montagne, a été enterré dans un tombeau et a été ressuscité. Il était aussi la Voie, la Vérité, la Lumière, le Messie, le fils oint de Dieu, le Fils de l’homme, le Bon berger, l’Agneau de Dieu, le mot, etc.. – il était « le Pêcheur » et était associé à l’Agneau, au Lion, au Poisson – son épithète personnel était « Iusa » le « fils éternel » de Ptah » le « Père » - il s’appelait  le " KRST » ou « Oint ».

Jules CÉSAR mort en 44 avant notre ère, Jésus  était donc déjà dans les cartons des services secrets romains.

Empire romain nid d'espions
Jules CÉSAR avait vite compris l’intérêt de maîtriser l’art du renseignement. Durant la conquête de la Gaule il s’abreuve de renseignements recueillis par ses espions, ou auprès des déserteurs de l’armée ennemie, des prisonniers ou des populations soumises, en vue d’adapter sa stratégie et ses tactiques. L’un des premiers codages utilisés est le code de César, qui lui doit son nom. Il consiste à décaler chaque lettre de l’alphabet de trois rangs (A devient D, B devient E, etc.) probablement la raison pour laquelle il ne voulait pas situer exactement l'endroit de sa plus grande bataille.

Cette analyse peut-être discutable, mais si Mithra fils d'Anahita fille de Zeus naît d'une pierre, sous un arbre, s'il en sort sous le regard ébahi des bergers, il est dieu fait homme en descendant sur terre, pas à la naissance, « je ne peux pas croire que Dieu puisse être un bébé » raison du premier schisme.

Personne ne sait quand Mithra est mort  ni où il a été enterré, légendes bien sûr, mais personne n'a donc cherché cette pierre (pas un cailloux), personne n'a cherché à la créer afin qu'elle soit vénérée, alors que depuis des siècles on cherche le lieu de naissance de Jésus et son tombeau.

Tout porte à croire que de cette pierre est né également AMON RÊ, trois mille ans avant notre ère, dieu solaire d'Héliopolis à la peau bleue car sa chair était composé de lapis-lazuli qui fertilisa le cosmos.

Vint ensuite Mitra, divinité indo-iranienne dont plusieurs documents hittites attestent son existence dès le IIe millénaire av. J.-C. Dans la Perse antique il fait l'objet d'un culte important.  

Selon Georges DUMEZIL (historien des religions et anthropologue 1898 – 1986) les dieux Mitra et Varuna forment un couple dans le panthéon indo-iranien, ils sont les représentants de la fonction souveraine, à Mitra-Contrat revient la souveraineté juridique, Varuna disposant de la souveraineté magique. Tous deux ont pour fonction de veiller sur la vérité et sur le cours du monde. Une révolution religieuse a eu lieu en Iran et a transformé en démons certains dieux.  Mitra devient alors le yazata (« dieu ») Varuna devient le « Seigneur Sage ». Une seconde réforme religieuse, celle de ZARATHUSTRA, survenue au cours du Ier millénaire av. J.-C., a orienté la religion mazdéenne vers le monothéisme au bénéfice d'Ahura Mazda entouré d'un certain nombre d'entités comme Mitra « Bonne pensée », ce dernier n'étant plus attesté que par quelques formules. Puis Sol Invictus « Soleil invaincu », divinité  solaire apparue dans l'Empire romain au IIIe siècle, laquelle reprend des aspects de la mythologie d'Apollon et du culte de Mithra

Les juifs ont cru que cette nouvelle religion ne prospérerait pas, mais sous CONSTANTIN, près de quatre siècles plus tard quand même, la moitié des romains étaient chrétiens. Si les romains n'avaient pas dissimulé cette vallée d'où tout était parti tous les mythes s'effondraient. Aéria ne pouvait pas être le territoire des élus, Israël, la Jérusalem terrestre. 

Marie-Madeleine, une maman (Thierry MURCIAqui ne s'est jamais remise de l'enlèvement de ses enfants, une « vieille folle », passée pour telle, qui s'est épanchée dans toute la Provence mais restée dans la mémoire populaire.

Michel BENOÎT ne fait que reprendre la doctrine d'ARIUS (256-336) théologien alexandrin d'origine berbère, école d'Antioche, la pensée de l'arianisme affirme que si Dieu est divin, son Fils, lui, est d'abord humain, mais un humain disposant d'une part de divinité, « je ne puis pas croire qu'un bébé puisse être Dieu ».

Pour Michel BENOÎT Jésus n'est pas mort sur la Croix, il serait parti vers l'Inde mais serait mort dans le désert, il écrit aussi qu'avec les moyens modernes on pourra retrouver sa tombe, en tout cas ses ossements, peut-être une erreur de GPS. Sans doute aussi la raison pour laquelle il s'est tourné vers le bouddhisme, tout en avouant qu'il n'y connaît pas grand chose, et il n'a plus trente ans devant lui, toute une vie consacrée à la recherche (interdite) c'est tragique.

Les jumeaux se sont-ils retrouvés, sont-ils revenus sur la terre d'origine, peut-être l'explication pour le col de l'Homme Mort (homme maure), berbères d'Afrique du Nord, musulmans. Col de l'Orme mort pour certains or, la graphiose de l'orme, vraisemblablement d'origine asiatique, est apparue pour la première fois en 1919 aux Pays-Bas et dans le nord de la France avant de gagner toute l'Europe. Il y en avait sept qui jalonnaient le chemin des Roulelles en 1982, abattus en 1986 mais la souche reste.

Peut-être quand même un symbole important. Chez les Grecs et Romains l'orme est en relation avec l'enfer et ses divinités, c'est l'arbre des mondes souterrains, tandis que les Gaulois assimilaient les personnalités des individus à des arbres, natifs du 12 au 24 janvier et du 15 au 25 juillet. «  Orgueilleux de la Lande, orgueilleuse de Logres » romans de Chrétien de Troyes  (né vers 1130 et mort entre 1180 et 1190) poète considéré comme le fondateur de la littérature arthurienne, Conte du Graal.

« Tu es pierre, et sur cette pierre... » il faut le prendre comme métaphore. Il retrouve la pierre, il est donc aussi Mithra réincarné, c'est sur cette « image » qu'il va créer son église, ce sera sa « fondation ». Pierre, mais de son vrai nom Simon ou Simon Bar-jona fils de Jonas, « le révolutionnaire » en araméen.

S'il en a eu la velléité, « nul n'est prophète en son pays », l'éducation qu'il avait reçue ne le rendait plus crédible aux yeux des gaulois pour qui l'âme passait toujours d'un corps à l'autre, toujours polythéistes. Lui aussi va donc passer pour un illuminé, mais son histoire va quand même se répandre, comme pour sa maman.

Dès lors il va bien falloir trouver des accommodements, faire coller la légende et la mémoire populaire. Par décision du pape François, sainte Marie-Madeleine est désormais fêtée par l’Église entière le 22 juillet. Une manière de mettre à l'honneur "l'apôtre des apôtres" et les femmes disciples de Jésus.

Mithréaum et pas crèche
 
Il aura donc fallu attendre CONSTANTIN (27 février 272 - 22 mai 337 – 31 ans de règne) pour que les chrétiens ne soient plus persécutés. Plusieurs historiens attribuent cette conversion à l'appât du gain : il se serait fait chrétien pour piller les temples païens afin de financer Constantinople, mais pour ZOSIME (né aux environs de 460) l'empereur se serait converti en 326, pris de remords après avoir fait périr le fils aîné Cripus. Pour d'autres, c'est parce qu'il était atteint de lèpre, il se serait converti car les chrétiens acceptaient dans leur rang les lépreux.

Joseph d’ARIMATHIE ou d’Arimathée, apparu tardivement dans la légende arthurienne (Robert de BORON) qui comme Marie-Madeleine (?) quitte la Jérusalem Terrestre et la Jérusalem Céleste pour repartir de l’avant en Bretagne (ne jamais se retourner sous peine d'être changé en statue de sel) où il ramène le sang du Christ, le Saint Graal, le Saint Calice. Jésus sur la Croix qui maintenant faisait de l’ombre à Rome, ses idées vont donc se répandre bien plus vite au Nord de l’Europe que dans le bassin méditerranéen, de là les invasions Barbares pour défendre Aéria, avant de saccager Rome à nouveau.

Originaire de l'Iran le culte mithriaque se répandit dans la haute Asie et en Asie Mineure, d'abord par les conquêtes de DARIUS (550-486 av J-C), puis par les bouleversements qui suivirent la mort d'ALEXANDRE (356-323 av J-C). Sous les Lagides (IVe-Ier siècle avant J-V) il s'introduisit en Égypte. Il pénétra en Italie après les guerres du Pont et de Cilicie vers 67 av. J.-C. Surtout pratiqué par les militaires le culte pouvait aussi accueillir d'autres personnes de la société civile, dont des esclaves, mais jamais de femmes. Sous l'influence de l'armée il se répandit en Gaule et en Germanie. Longtemps proscrit il eut la faveur de CLAUDE (10 av J-C-54 après J-C), NÉRON (37-68) et COMMODE (161-192). Le culte de Mithra connaît son apogée au IIIe siècle.

Le christianisme s'était d'abord développé dans la partie orientale de l'Empire romain, la première trace de chrétiens à Édesse date de 200, l'évangélisation de Mésopotamie serait aussi partie de là.

Ce nouveau culte ne plaît pas aux romains. En 177 les chrétiens subissent à Lyon une première persécution. Suite à cet épisode sanglant, Irénée, un jeune prêtre originaire d’Asie mineure, compose les premiers écrits chrétiens de Gaule, aujourd’hui considéré comme un des pères fondateurs du christianisme.

Au IIIe siècle des communautés chrétiennes émergent en Gaule, Reims se dote d’un évêque, mais de nouvelles persécutions ont lieu, en 257-258 sous l’empereur VALÉRIEN, et en 303 sous DIOCLÉTIEN.

Culte d'Isis
Ces persécutions n’enrayent pas la prolifération de communautés chrétiennes, même si ces dernières grandissent souvent dans l’ombre. Toulouse est à son tour évangélisée, le christianisme gagne du terrain, s’organise, enrôle des fidèles, l’Empire romain n’a plus d’autres choix que de l’assimiler.

En 313, pour des raisons politico-religieuses, l’empereur CONSTANTIN - également adepte du mithraïsme - autorise la pratique du christianisme au sein de l’Empire. Il signe un édit de tolérance religieuse, édit de Milan qui ne rend pas officiel le christianisme mais le place à égalité avec les autres religions de l’Empire.

Jugeant opportun de créer une religion universelle à partir des religions dominantes de l’époque, il confie le soin à des érudits de cultures gréco-latines, philosophes pour la plupart, d'initier une nouvelle doctrine, à partir les mystères de Ieshoua HaMashiah, identiques aux mystères babyloniens. Le catholicisme est une religion née du mélange du paganisme gréco-latin d’origine babylonienne et du méshihisme d’origine hébraïque.

Le catholicisme finalement révélé être la religion solaire du culte de Mithra sous un déguisement chrétien, "Les deux Babylones" Alexander HISLOP

La conversion de CONSTANTIN permet au culte chrétien de se diffuser rapidement au sein de l’Empire, mais certaines provinces se convertissent plus rapidement que d’autres, et des cultes païens se mêlent souvent à la pratique chrétienne. Conscient des clivages religieux et culturels provenant des nombreuses conquêtes romaines, en protégeant les chrétiens CONSTANTIN souhaitait donc unifier l’Empire.

Si AUGUSTE (63 av J-C 14 après JC) a laissé se construire des autels des temples qui lui sont consacrés, surtout dans l'Orient habitué à considérer ses souverains comme des dieux vivants, c'est à condition que son nom soit associé à celui de Rome divinisé, il a refusé d'être divinisé de son vivant, mais dès le début de l'Empire, (27 av. J.-C., 14 ap. J.-C.) il met en place le culte impérial et fait diviniser CÉSAR en tant que son héritier, il s'élève ainsi au-dessus de l'humanité. Ce n'est pas Dieu qui nomme CÉSAR, mais CÉSAR qu'on proclame divin, CONSTANTIN permettait de justifier la domination romaine qui découle de la volonté divine.

Le christianisme va prendre une dimension nouvelle suite à l’édit de Thessalonique. Le 28 février 380, THÉODORE (347-395)  empereur de l’Empire romain d’Orient et GRATIEN (359-383) pour l’Empire romain d’Occident, se réunissent pour convenir d’un traité qui va changer la phase du christianisme. Tous deux chrétiens, ils s’accordent sur l’idée suivante : le christianisme devient l’unique religion officielle et obligatoire des deux empires.

Alors qu'au cours des siècles l’Empire romain s’était voué au polythéisme, avec de nombreux dieux qui eux-mêmes s’étaient mélangés aux cultes autochtones et aux coutumes locales pour former des rites particuliers à certaines régions de l’Empire, c’est la fin du paganisme et des divers cultes religieux, la fin du polythéisme. Toutes les richesses et diversités culturelles devaient donc être abandonnées au profit du christianisme, monothéiste et bien plus structuré que le paganisme. 
Rocher Mévouillon et rocher Séderon
POURQUOI FALLAIT-IL ABSOLUMENT FAIRE OUBLIER CETTE VALLÉE... "MAUDITE" ?

Découverte de nature à faire tomber le Vatican, l'islam et plus encore, le christianisme aurait été tué dans l'œuf, il n'y aurait pas eu la Mecque, pas de francs-maçons ni de sectes apocalyptiques, ne jamais se retourner sous peine d'être changé en statue de sel,  Sodome et Gomorrhe.

LIEU DE PÈLERINAGE POUR TOUTES LES RELIGIONS ET SECTES, INACCEPTABLE POUR LA JÉRUSALEM « TROIS FOIS SAINTE » QUE JUDAÏSME (un peu plus de 14 millions, 0,2 % de de la population mondiale), CHRISTIANISME (17,5 %) ET ISLAM (19%) ASSOCIENT  À L'ORIGINE DU MONDE CRÉÉ . « LA CITÉ EST LE NOMBRIL DU MONDE, L'AXE MAJEUR DE L'UNIVERS »
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Même les HINDOUISTES ( la plus vieille religion du monde, plus de un milliard recensés) y seraient venus en nombre, et aussi les tsiganes qui auraient quitté l'Inde avant l'an mille, et qui, peut-être ont préféré passer un deal avec l’Église aux Saintes-Maries-de-la-Mer, rejetés et toujours contrôlés, et même les non-religieux (12,5%)dont les athées (2,4%). 



Les yézidis sont une communauté kurdophone qui compte entre 100 000 et 600 000 personnes en Irak, selon les estimations. Ils font partie des populations les plus anciennes de la Mésopotamie où leur croyance est apparue il y a plus de quatre mille ans. Leur principal lieu de culte est Lalech, dans le Kurdistan irakien, mais plusieurs milliers de yézidis habitent en Syrie, en Turquie, en Arménie et en Géorgie. Religion monothéiste qui puise une partie de ses croyances dans le zoroastrisme, persécutés depuis la nuit des temps. Leur culte et leurs rituels se transmettent oralement, c'est pourquoi on ne devient pas yézidi, on naît yézidi.L'islam n'a pas de considération pour cette religion, contrairement au christianisme et au judaïsme qui sont tolérés. 

MAIS IL Y AVAIT UNE RAISON BEAUCOUP PLUS "PRAGMATIQUE", origine des guerres, toutes sont de religions, des massacres depuis des millénaires, C'EST UN SYSTÈME, UNE ÉCONOMIE QU'IL FALLAIT PRÉSERVER

Pour les gourous et religieux il s'agissait moins d'apaiser les angoisses métaphysiques que de faire travailler les hommes au delà de la satisfaction de leurs besoins essentiels, pour s'enrichir et conserver leur pouvoir, s'ils triment ils gagneront un monde meilleur, le paradis... peut-être ! Les premiers seront les derniers Matthieu 20-16, ben voyons ! Le capitalisme n'est pas né au siècle des lumières ni au moment de la révolution industrielle, il est inhérent à la religion.

Voilà pourquoi les romains avaient remplacé Mithra par Jésus, lequel conseillait de tendre l'autre joue, et voulaient qu'il soit le messie pour les juifs.

Le christianisme dans sa naissance (et c'est sa paradoxe grandeur) est une doctrine de l'injustice. Il est fondé sur le sacrifice de l'innocence et l'acceptation de ce sacrifice Albert CAMUS.

Système capitaliste qui certes a permis de grandes avancées, mais qui aujourd'hui nous conduit droit dans le mur. Deux mille ans plus tard tout est de nouveau dans une impasse.

Tu détruis tout me disait mon épouse avant de me quitter, la larme qui perlait sur sa joue reste à jamais gravée dans ma mémoire. Il faut croire que nul n'échappe à son destin. Sans doute vais-je finir ma vie comme Salman RUSHDIE, entouré de gardes du corps, il n'y a pas que l'islam qui lancerait une fatwa, même l'Angleterre ne voudrait pas de moi, briseur de rêves, pourfendeur d'idées reçues.

« Âge d'Or islamique », le monde arabo-musulman est à son apogée scientifique du VIIe au millieu du XIIe siècle. Cette culture scientifique a pris son essor à Damas puis à Bagdad, elle a débuté par des traductions accompagnées de lectures critiques des ouvrages de l'Antiquité en physique, mathématique, astronomie ou encore médecine, traductions qui ont contribué à former la culture arabe alors que jusqu'au milieu du XIe siècle l'Europe restait à l'écart des sciences grecques. À l'inverse, à partir du XVIe siècle «  une forme de résistance au savoir médical et scientifique européen est avérée ».

Soyez savants devenez prophètes Georges CHARPAK(1924-2010, physicien français lauréat du prix Nobel de physique en 1992), non seulement on devient philosophe lorsqu'on fait l'effort de s'intéresser à la cognitive, plus besoin de psychanalyse, je sais qui je suis dans cette symbolique, ce qui sans doute aurait réconcilié FREUD avec l'argent, probable que les psychanalystes, qui ont vite fait de combler le vide laissé par les religieux (pas touche leur fonds de commerce), vont me vouer aux gémonies, comme Alfred KINSEY(1894-1956) professeur d'entomologie et de zoologie,célèbre pour avoir publié deux importantes études descriptives sur le comportement sexuel de l'homme et de la femme, lequel avait choisi avec son épouse de vivre sur le mode "couple libre", ayant comme collaborateur et amant son jardinier. 
Peut-être faudrait-il aussi brûler "L'Amant de lady Chatterley", écrit par David Herbert LAWRENCE en 1928 mais publié en 1960 après sa mort. 

Est-ce parce que nous employons de jolis mots, de belles phrases, souvent pour justifier l'inacceptable, que nous ne sommes plus des animaux dominés par leurs instincts ? 
Des millions de charlatans au chômage, et alors, la belle affaire !  Plus de travail je m'en réjouis  écrit Yves ROUCAUTE,  philosophe né en 1953, professeur des universités qui défend le camp du progrès contre les vendeurs d'apocalypse. Ils pourront lire, se rendre dans les musées, s'instruire, s'éduquer si faire se peut encore, manifester avec les gilets jaunes pour le revenu universel, leur salut dans la rédemption, les premiers seront enfin les derniers. Le travail comme moyen et pas une fin. 
Est-ce bien ce monde là qu'il faut laisser, à base de légendes arthuriennes, billevesées, calembredaines et autres fadaises.
Raison du massacre et du pillage de la Grande bibliothèque d'Alexandrie, manuscrits récupérés par les moines qui ont redonné les noms de lieux (toponymie, géographie sacrée), à partir de manuscrits hellénistes probablement toujours au monastère de Ganagobie, là où "les Artisans de la Paix tenaient colloque en 2012, encore une organisation très éclectique, œcuménique, avec en son conseil d'administration "Terre du Ciel" dont le fondateur a été emprisonné en France (« mal-aimés de la médecine »), Paula KASPARIAN présidente de l’association, docteur es-sciences économiques, docteur Richard ZEITOUN chargé des relations publiques avec les traditions hébraïques, Jean-Marie ELISSALT chargé des relations publiques avec les traditions chrétiennes, Shaykh Tarik ABOU NOUR chargé des relations publiques avec les traditions musulmanes, Vincent PILLEY chargé des relations publiques avec les traditions bouddhiques,  « Regards et apports des spiritualités et des religions »,  auteur avec Jean-Luc CASTET de « Comment contribuer au bien vivre ensemble ».


Cette vallée, une « révélation », une "révolution" qui devrait les réjouir, ainsi que le cousin de l'archevêque d'Aix-en-Provence.... commissaire aux comptes, "contes" !  Il y a une vie spirituelle après la science (exacte ?) des chiffres, comme monsieur le sous-préfet qui devait prononcer un discours lors du concours régional de Combe-aux-Fées, mais linspiration lui manque, en chemin il s’arrête dans un petit bois afin d’y rédiger son intervention. Le fonctionnaire est en réalité un poète. La nature environnante l’incite à composer des vers plutôt qu’à écrire son fameux discours. Alphonse DAUDET 1840-1897. 

Éradication (?) du culte de Mithra, extermination des templiers, roms à la recherche d'un lieu, poussés par leur instinct grégaire et qu'il fallait castrer pour les empêcher de se reproduire, huguenots condamnés à s'expatrier (Louis XIV), Shoah mais depuis plus longtemps encore, nazis fascinés par l'occultisme, on connaît l'influence d'Alfred ROSENBERG inspiré par l'ordre de Thulé et qui posa la lutte entre les races comme le moteur principal de l'histoire, tandis qu' Heimlich HIMMLER avait créé une unité SS appelée Ahnenerbe (patrimoine ancestral), archéologues et scientifiques qui parcouraient le monde à la recherche des aryens perdus de l’Atlantide.

Edward TYLOR ( anthropologue britannique 1832-1917) voyait dans la religion primitive la croyance en des forces vitales, puissance dynamique de la nature, royaume surhumain tout aussi réel que le monde physique des roches, des arbres et les plantes. 

L'animisme est bien la première religion, croyance en un esprit, une force vitale qui anime les êtres vivants mais aussi les objets et les éléments naturels, comme les pierres ou le vent, ainsi qu'en des génies protecteurs.

Mystère, miracle et autorité, ce que les hommes préfèrent le plus Frédéric LENOIR, lequel écrivait également, le tournant du néolithique désacralisait la natures, Jésus désacralisait les religions.

La religion des romains vient des grecs, plusieurs dieux, elle ne laisse que peu de place à la théogonie et au dogme, seuls les rites sont importants, superstition en quelque sorte. Sous l'Empire plusieurs peuples sont sous domination des romains, avec leurs propres croyances, leurs propres rites qui vont eux aussi influencer la société romaine.

C'est Paul de Tarse ou Saint Paul, portant aussi le nom juif de Saul, apôtre de Jésus-Christ mais ne faisant pas partie des douze, présenté comme un persécuteur des disciples de Jésus jusqu'à sa rencontre mystique avec le Christ, mort en 67-68 à Rome alors qu'il n'y avait pas encore de persécution de chrétiens, qui aurait supprimé le caractère obligatoire de la circoncision, remplacée par la foi en Jésus.  

Monnaie de Singe
François Laurent ROLARD 1842-1912
L’homme n’est pas justifié par la pratique de la loi, mais seulement par la foi en Jésus-Christ car si la justice vient de la loi, c’est donc que le Christ est mort pour rien.  Ce n’est point par l’intermédiaire d’une loi qu’agit la promesse faite à Abraham mais par le moyen de la justice de la foi.

C'est Justin de Naplouse (né au début du II siècle et mort vers 165) qui le premier, dans son dialogue avec Tryphon le juif, accuse les juifs de "déicide" :  mais maintenant encore, en vérité, votre main est levée pour le mal ; car, après avoir tué le Christ, vous n’en avez pas même le repentir ; vous nous haïssez, nous qui par lui croyons au Dieu et Père de l’univers, vous nous mettez à mort chaque fois que vous en obtenez le pouvoir ; sans cesse vous blasphémez contre lui et ses disciples.

Par un curieux renversement de l'Histoire, pour ce philosophe converti ce sont les adeptes du culte de Mithra, qualifiés de « mauvais démons», qui ont imité les rites chrétiens alors qu'il lui est antérieur de plus de 1500 ans. Comme dans la seconde moitié du premier siècle le mithraïsme se développe à Rome, condamné pour avoir refusé de participer au culte d'idoles il sera exécuté par décapitation.  

Si nous héritions de toutes les tares de nos parents nous serions tous des monstres. L'homme n'est pas entièrement coupable ; il n'a pas commencé l'histoire ; ni tout à fait innocent puisqu'il la continue Albert CAMUS.

Dès le Ve siècle l'Église enseigne que les juifs sont responsables de la mort du Christ, quinze siècle plus tard les nazis considèrent qu'il s'agit d'une race et non d'un groupe religieux, et bien que minoritaires ils sont une force importante et donc un danger pour l'Allemagne. 

40 % des juifs exterminés durant la Seconde Guerre Mondiale, 1,1 millions de juifs aujourd'hui dans l'Union Européenne, 1,4 en Europe, 5,9 en Israël, un peu plus de 14 millions dans le monde, 0,002 % de la population mondiale mais ils seraient toujours un danger pour l'humanité alors que la grande majorité estime qu'Israël est contraire à la Thora, que beaucoup de juifs religieux sont profondément antisionistes et condamnent au nom de leur foi  en Dieu la création d’un État juif, aussi bien dans le passé que dans le présent, et ils s’érigent  avec des accents mystiques d’une violence extrême contre les pratiques « génocidaires » de leurs coreligionnaires. 

À quoi tient la paix dans le monde, à un petit bout de chair. 

La circoncision est une pratique ancienne, mentionnée dès le V e siècle avant J-C par par HÉRODOTE qui en attribue la paternité aux Égyptiens. Elle revêtait alors pour les Pharaons un caractère initiatique. Elle est décrite à travers l'histoire comme une prescription hygiénique, une renonciation symbolique au péché de la chair, un rite de passage à l'âge adulte, une offrande à la divinité ou le moyen de marquer son appartenance à une communauté religieuse par un signe distinctif. 

En 2009, l’Organisation Mondiale de la Santé estimait que 661 millions d’hommes de plus de 15 ans étaient circoncis, soit environ 30 % de la population masculine mondiale. La circoncision est le plus répandue dans le monde musulman et juif, aux États-Unis et dans certaines parties de l’Asie du Sud-est et de l’Afrique mais relativement rare en Europe, en Amérique latine, dans des parties de l’Afrique australe et la plupart des pays d’Asie.

PEUT-ÊTRE FAUDRAIT-IL INFLIGER AUX ANTISÉMITES LA CIRCONCISION COMME PUNITION.

Le secret est tel que nul n'a le droit de le divulguer Roger GUASCO, peut-être ne connaissait-il pas exactement l'endroit, mais il savait qu'en le révélant il risquait sa peau, qu'il mettrait ses proches en danger, de même Michel BENOÎT,  quiconque a le secret doit être consumé par lui et disparaître.

« Mais vous savez aussi que si je le révèle le secret sera accessible à tout un chacun, l'intérêt bien compris des deux parties est donc de le conserver jalousement, de partager le pouvoir qu'il procure ». Le secret n'était pas seulement partagé par le Vatican et par les francs-maçons (quelques uns bien sûr) et leur rivalité est un leurre, subterfuges dignes d'un escobar.

Sous couvert de tolérance et de liberté de conscience, de Laïcité, la maçonnerie est aussi une église. Il n'est pas nécessaire d'être croyant pour entrer en loge, il faut quand même prêter serment, à genoux les yeux bandés devant la tête de mort. Pas Dieu mais le grand architecte, peu importe pour peu qu'on fasse allégeance, superstition quand tu nous tiens. 7 décembre 2009, SHARON a convoqué à une réunion secrète certains des généraux et autres officiers supérieurs, avec des gens de la sécurité, ils ont prêté un serment du sang par lequel ils s’engagent à combattre jusqu’à la mort pour empêcher tout gouvernement d’Israël de se retirer de Cisjordanie. La maçonnerie rejette la chrétienté et veut la fin de l’Église (?) mais la source est la même, le mithraïsme.

MITHRADATES I empereur dynastie
Parthe d'Iran 171-138 av J-C
Entente à Davos entre grands de ce monde, Bilderberg, illuminati, on ne prête qu'aux riches.  Quand on n'a pas d'ennemi il faut en trouver un, pour l'unité de la nation mais surtout pour se maintenir au pouvoir, POUTINE l'a compris, « si guerre nucléaire nous irons au paradis », alors qu'à l'ère soviétique toutes les pratiques religieuses étaient interdites. Mais aujourd'hui 68 % de la population se déclare orthodoxe.

Rivalité utile en économie, elle évite les monopoles et profite aux consommateurs, en politique et en philosophie elle est indispensable pour la démocratie, pour faire obstacle à la « pensée unique », et en sciences elle stimule la recherche, Louis PASTEUR et Robert KOKHCarl Gustav JUNG et Sigmund FREUD.

Djiadistes de Mammon
Beaucoup sont complices de ce "système",  de l'intuitif, du « résonné » plus que du raisonné, ils en vivent quand même, parfois grassement, la chienlit leur fait peur, ils savent que la révolution serait récupérée par les mêmes, comme en 1789, on coupe la tête d'un roi pour le remplacer par un autre, il faut que ça change... pour que tout redevienne comme avant. Chemises Rouges de Giuseppe GARIBALDI 1807-1882 qui après avoir défendu les opprimés se sont mises au service du nouveau roi, que pouvaient-elles faire d'autre, elles ne savaient que se battre. C'est le VEAU D'OR qui indéfectiblement les unis.




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